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#187 No, I won't be afraid Just as long as you stand, stand by me

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Ezekiel Malone
Ezekiel Malone
au secours, j'ai la trentaine !
Ezekiel Malone
▲ Messages : 106
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#187 No, I won't be afraid Just as long as you stand, stand by me Tumblr_o7gfxpNUIs1tkuq2lo1_250
▲ Age : 38
▲ Quartier Résidentiel : Au domaine arkadia avec ma fiancée et notre fille.
▲ Occupation : Lieutenant de police
▲ Identité Sexuelle : Jezsexuel
▲ Cupidon : Il l'a aimait, elle a disparut, elle a cru à de mauvaises choses, maintenant il le sait. Maintenant qu'il l'a retrouvé. Il était en ville car il avait son nom et son prénom portée par une femme de la ville et il s'est avéré que c'était elle. Il n'a pas plus cherché que ça une fois en ville mais c'est lors d'une mission de surveillance à la galerie d'art qu'il tombe dessus. Il l'a raccompagné chez elle car elle n'allait pas bien, il aurait tout fait pour elle de toute façon. Il a vu une petite fille, il ignoré qui elle était, au début il a cru à un autre homme dans la vie de sa belle puis elle lui a avoué que c'était sa fille, le fruit de leur amour. Il n'arrive toujours pas à y croire. Ils viennent de se retrouver mais ils commencent à se pardonner et surtout ils continuent de s'aimer.
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au secours, j'ai la trentaine !
Lun 7 Aoû - 11:49

   

   
No, I won't be afraid Just as long as you stand, stand by me

   Ezebel
   

   

   
Vingt et une heure trente, depuis six jours c'est la même chose, je fais durer le repas jusqu'à cette heure là et je lui offre cette petite boîte. Elles sont numérotés. Dans chaque d'entre elles, j'y ai glissé un souvenir que Jezabel a gardé dans son carton. Habitant chez elle maintenant, j'ai accès à toute la maison et surtout à cette boîte. Je ne pense pas qu'elle se soit rendu compte que je lui avais pris des trucs, en tout cas, elle doit s'en rendre compte au fur et à mesure ds boîtes. Des bracelets, des anciennes bagues, des lettres que je lui ai écrites, des photos de nous que l'on a prise ensemble. Elle doit comprendre que j'ai été cherché ça à un endroit où je n'avais pas trop le droit. Sûrement qu'elle ne comprend pas pourquoi je lui fait ça, pourquoi lui offrir des choses qui sont théoriquement à elle. Tout est prévu. Ce soir, ce sera le dernier cadeau, rien qu'à y penser j'ai les mains moites. Ca fait bien longtemps que je n'ai pas autant stresser. Et dire que la première fois je voulais faire quelque chose de tout simple, juste un repas, une demande mais voilà, après trois ans, j'ai décidé de faire autre chose, quelque chose de plus élaboré. Ce soir, nos vies vont peut-être changer.

Avec l'aide de Dia, j'ai réussis à éloigné Jezabel de la maison pour la fin d'après-midi. Très rapidement je suis passé au magasin, j'ai récupérer des ingrédients pour tenter de faire un bon repas. Événement exceptionnel, repas exceptionnel. Je rentre au manoir, les bras chargé de sac avec les ingrédients, je pose tout ça sur la table et j'allume l'application de cuisine que j'ai sur mon téléphone portable, au moins je serais sûr de ne pas rater. Une voix féminine me dicte mes moindres faits et gestes, je suis au mot près ce qu'elle me dit. Des fois, je reviens en arrière pour ne pas manquer une étape. La cuisine ce n'est pas vraiment mon truc. Avant je faisais des effort pour Jezabel, j'apprenais pour lui faire de bons petits plats mais avec son départ, je ne trouvais plus l'intérêt de le faire, c'était Charlotte qui me nourrissait ou au pire j'allais manger un sandwich à la cafétéria du poste de police. Mais là, je veux que tout soit parfait, que tout vienne de moi. Je finis la recette, je n'ai plus beaucoup de temps avant que Jez rentre avec Dia. J'espère vraiment que ça va donner quelque chose de bien. Je file à la chambre de Jezabel… notre chambre. Ca me fait toujours bizarre de dire que c'est à nous, c'est la notre. Je prend la boîte de tous nos souvenirs, quand elle n'est pas là, j'aime bien venir fouiller dedans pour voir ce qu'elle a gardé, c'est ça qui m'a donné l'envie de faire cette demande, de cette façon, elle garde tellement de chose de notre passé, il y a tellement de photos. Je les prend et je regarder dans mon armoire avec mes vêtements. J'ai fait le tirages photos de plusieurs, celles qu'on a prise depuis ces deux mois après nos retrouvailles. Il y en a pas mal avec la bouille de Dia. J'aime tellement regarder ses photos, j'aime tellement l'idée que si je me retourne je peux les voir toutes les deux. Je les prend et je vais à la salle à manger. Dans cette pièce et dans le hall je vais essayer de suspendre des fils pour y accrocher les photos, j'ai au préalable acheté des petites épingles. Je ne veux pas que les fils soient trop haut, je veux que Dia ait la possibilité de les voir aussi. Je pose les photos et je vais chercher une chaise. Debout devant elle, après l'avoir déplacer, je me motive à monter dessus, oui il n'y a pas de honte à être flic et à avoir le vertige ! Je monte finalement dessus, je n'ai pas le temps de peser le pou et le contre pour monter dessus. Tant bien que mal, j'attache les fils et je n'ai plus qu'à mettre les photos dessus. Je souris à les voir. Il y a des photos où Jezabel dort, je pense que quand elle va les voir, je vais me faire crier dessus. Après un bon quart d'heure à penser à la disposition de toutes les photos, il faut que je me prépare. Je monte à la chambre, heureusement que je me suis douché plus tôt dans la journée car je n'ai pas le temps de le faire là. Je n'arrête pas de regarder ma montre pour ne pas être en retard. J'adore l'odeur qui se dégage de la cuisine, ça sent même jusqu'à la chambre. J'espère vraiment que Jezabel va adoré. J'adore le riz cantonnais, je pourrais manger que de ça mais le porc au caramel ce n'est pas mon truc. Je ne sais même pas si elle s'en rappelle mais j'espère qu'elle verra mes efforts. Dans la chambre, je choisis quoi mettre. J'ai longtemps hésité pour les bons habits, je sais que Jez adore tout ce que je porte mais je veux un truc qui la fera craquer, qu'elle aura envie d'enlever tous mes vêtements. Si elle pouvait attendre ma demande, ce serait parfait par contre. Je voulais quelque chose d'élégant mais finalement, je ne me voyais pas en costume, je me ferais griller à deux cents kilomètres. Alors j'ai pensé à une chemise à carreau dans les ton bleu. Je sais à quel point elle aime le bleu. Je vais à la salle de bain pour me changer, habitude débile vu que je suis seul à la maison. Dans le miroir je me regarde, je trouve que pour le moment je suis pas mal. Je commence déjà à stresser alors qu'elle n'est même pas encore là. Je n'ai plus qu'à l'attendre, elle ne devrait pas tarder.

   

   

   


Car ça ne fait pas de mal de le revoir:
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Lun 7 Aoû - 14:28

   

   
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   Ezebel
   

   

   
Le visage concentré, je ne quittais pas Dia du regard alors qu’elle s’amusait comme une folle dans le manège. Elle avait toujours aimé s’amuser et j’adorais voir un grand sourire naitre sur son visage quand elle voyait le manège sur la grand place d’Heatherfield. C’était un vieux carrousel, le genre de manège calme et qui faisait toujours naître un brin de nostalgie quand on en voit un. J’aurais aimé qu’Ezekiel soit avec nous mais Dia avait tenu à ce que cela soit une sortie entre elle et moi alors j’avais dû laisser le jeune homme chez nous. Chez nous… Ces deux petits mots sonnaient terriblement bien à mes oreilles. Déjà presque une semaine que nous étions une vraie famille et je ne m’en laissais pas. Je n’oublierais certainement jamais la tête de notre princesse quand elle avait vu son père arriver avec ses affaires et qu’elle avait compris qu’il venait vivre à la maison. Je n’avais clairement pas à me plaindre de la façon dont j’étais traité par le jeune homme, même ma grand-mère serait envieuse. J’étais encore mieux traité qu’une reine, j’avais droit à un petit cadeau par soir depuis six jours désormais. Enfin, cadeau… C’était des bouts de souvenirs qu’Ezekiel trouvait dans ma boite. Mais même si je connaissais déjà tous les cadeaux qu’il m’offrait, cela me permettait de me replonger dans nos trois premières années de vie commune avec plaisir et nostalgie. Le tour de manège de Dia se termina sur cette pensée et elle me demanda l’heure. La lui donnant, elle ajouta qu’il était temps de rentrer. J’avais un peu l’impression que la demoiselle contrôlait tout ce soir mais c’était assez rare pour que je ne m’en formalise pas. Dia courut jusqu’à la voiture et sauta dans son siège auto une fois que j’eus ouvert la portière. Une fois installée derrière le volant, je pus prendre la direction de la maison, où j’allais retrouver Ezekiel. Je ne savais pas encore ce que l’on allait bien pouvoir manger mais peut-être qu’il serait d’accord pour qu’on se fasse livrer des pizzas. On arriva rapidement à la maison et bientôt, j’entrais dans l’entrée qui sentait une délicieuse odeur de cuisine chinoise. « Dis dont, tu as commandé chinois sans nous… Prévenir… » Je restais bloqué dans l’entrée, entouré de photos. Je ne pris pas la peine de les compter, il y en avait beaucoup trop. J’aurais dit pas moins d’une cinquantaine et encore, je n’étais même pas sûr de moi. Lâchant la main de Dia, je me mis à regarder les photos. Certaines étaient anciennes et je les reconnaissais pour les avoir longuement regardé pendant les années sans le jeune homme. Mais d’autres étaient récentes et il y en avait certaines que je n’avais jamais vu. Toutes celles où Dia étaient là, je les connaissais mais pour les autres, elles étaient complètement inconnues et je les découvrais. J’ignorais complètement pourquoi Ezekiel avait fait tout cela mais c’était terriblement mignon et je pris le temps de regarder une à une toutes les photos, même celles que je connaissais déjà. J’eus rapidement traversé l’entrée et je retrouvais le jeune homme dans le salon, un grand sourire aux lèvres et les yeux passablement humide. « Bonsoir toi. Eh bien dis donc, j’ai fait quoi pour mériter une telle surprise? » Glissant mes bras autour du cou du jeune homme, je déposais un délicat mais néanmoins tendre baiser sur ses lèvres en souriant toujours. L’air sentait terriblement bon et je commençais déjà à me douter du repas, l’odeur du porc au caramel était reconnaissable entre mille. Et je savais qu’il détestait cela alors je ne pus qu’être touché par l’effort qu’il avait fait ce soir.
 

   

   
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Mar 8 Aoû - 11:27

 

 
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  Ezebel
 

 

 
Tout ça est possible grâce à Dia, ma fille, notre fille. Ca me fait toujours bizarre de dire ça mais c'est rapidement que mes fond d'écran de portable et d'ordinateur ont changé pour afficher la jolie frimousse de ma fille. Dia, c'est le genre d'enfant qui quand vous la voyez dans un magasin vous vous dîtes « oh c'est ça que je veux plus tard » et moi je me retourne avec un sourire en mode « c'est la mienne, ne la touche pas ». Plus je la vois, plus j’apprends à être père et plus je prend ce rôle au sérieux. Elle, son rôle de petite fille, elle le prend très au sérieux, je comprend déjà beaucoup mieux pourquoi elle l'appelle princesse, ça en ait vraiment une, il manque plus que les petits caprices, mais Jezabel a fait un merveilleux travail dans l'éducation de notre fille. Voilà, je me sers de Dia et de son amour un peu trop grand pour moi pour demander sa maman en mariage. Bien sur j'aurais pu lui dire la raison mais je la connais la petite, elle n'a pas sa langue dans sa poche, en étant trop heureuse d'être avec sa mère elle aurait pu lui lancer un « papa il veut te demander en mariage » et tout aurait louper. Mais même si elle ne sait pas pourquoi, elle m'a aidé, elle a demandé à sa maman de sortir toutes les deux. Quand Jez lui a demandé pourquoi je ne peux pas venir, elle lui a trouvé une excuse toute pourris mais moi ça m'a fait sourire. J'étais libre pour l'après-midi c'était le principal. Je lui avais fait comprendre qu'il fallait qu'elles soient là avant vingt et une heure. Elle ne sait pas lir l'heure mais elle demandera bien à sa mère. J'ai peur mais je suis tout aussi impatient à l'idée de lui demander. Je sais qu'elle ne dira pas non, du moins je l'espère. Mais je veux surtout qu'il y ait une surprise. Bon, quand je regarde ce que j'ai fait pour elle ce soir, elle va se douter de quelque chose. Peut-être que j'aurais dû ne rien faire, un repas normal et boom la bague, ça l'aurait plus surprise. Mais je voulais quand même quelque chose de romantique or un repas devant du cassoulet ça ne l'est pas. J'entends la porte s'ouvrir, ça y est elles sont là. Un sourire s'affiche instinctivement sur mon visage. C'est toujours comme ça que ça se passe quand je pense à Jez, que je sais qu'elle n'est pas loin de moi. Sa voix résonne dans la maison et d'un coup, déception. Bon, je ne peux pas lui en vouloir, je ne suis pas un as de la cuisine alors ça aurait pu être possible que je commande du chinois pour elle, mais non, j'avais voulu quelque chose de mieux et de plus personnel. Je me déplae dans la maison pour les rejoindre. Elles regardent les photos. J'aime le sourire qui se montre sur le visage de Jezabel quand elle les regarde. Dia vient à moi et je la prend dans mes bras. A son oreille je lui glisse un « merci » et je lui demande si elle a faim. Elle me répond que oui, que le manège ça lui a donné faim. Je ris et la repose par terre après lui avoir fait un bisous sur la joue. Celle que j'aime s'avance vers moi, je vois qu'elle a les yeux humides. L'effet est là mais je ne veux pas du tout qu'elle pleure. Je m'approche d'elle en souriant, mon plus beau sourire, juste pour elle. Elle glisse ses bras autour de mon cou, elle sait à quel point j'aime quand elle fait ça. J'aime le contact de ses mains sur ma nuque. Elle vient m'embrasser, je ne peux que répondre à son baiser en prolongeant quelques secondes de plus. Je porte ma main droite à sa joue pour caresser sa peau. « Bonsoir. Tu fais tellement de chose, rien que le fait que tu m'aimes me donne envie de faire ça pour toi. » Je dépose un baiser sur son front et je la regarde dans les yeux avec toujours le même sourire. « Tu as faim ? » Je fais mine de réfléchir un peu pour finalement dire. « Car j'ai cuisiné quelque chose que tu n'aimes pas. » avec un léger rire.


 

 

 
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Mar 8 Aoû - 19:14

   

   
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   Ezebel
   

   

   
J’étais déçue qu’Ezekiel ne soit pas venu avec nous cet après-midi mais je me doutais bien qu’il avait une excellente raison de refuser. Même si je le soupçonnais de ne pas m’avoir donné la bonne. Mais je devais également reconnaître que passer une après-midi seule à seule avec Dia m’avait manqué. On pouvait parler de trucs de filles et faire les boutiques sans crainte que son père ne s’ennuie. Il était presque vingt-et-une heure quand Dia revint de son tour de manège en me demandant l’heure. Et après avoir regardé ma montre, elle ajouta qu’il était peut-être temps de rentrer, que son père devait s’ennuyer tout seul. J’eus un petit sourire tout en embrassant les cheveux de ma princesse. On rentra rapidement à la maison et alors que je rentrais, je fus attaqué par une douce odeur de porc au caramel. Je souriais mais je dus marquer un temps d’arrêt dans l’entrée, la tête perdue dans des photos qui se trouvaient suspendues au plafond. Je ne pus m’empêcher d’être émue devant cette surprise alors que je regardais les photos. Dia se précipita vers son père et se retrouva rapidement dans ses bras. Je restais encore un petit peu à regarder les photos, ne pouvant m’empêcher de rire légèrement en constatant qu’Ezekiel avait été jusqu’à me photographier alors que je dormais. Je m’approchais rapidement du jeune homme pour glisser mes mains derrière son cou avant de l’embrasser. Je ne m’étais pas attendue à une telle surprise et le résultat est fantastique. Je me demandais bien ce que j’avais pu faire pour bénéficier d’une telle surprise et sa réponse me fit complètement fondre entre ses bras. Il m’embrassa le front en me demandant si j’avais faim avant d’ajouter qu’il avait cuisiné quelque chose que je n’aimais pas. Je déposais un nouveau baiser sur ses lèvres avant de sourire. « Mon cœur, tu sais très bien que je sais parfaitement reconnaître l’odeur du porc au caramel. Mais tu as cuisiné ça? Je me souviens que ce n’est pas un plat que tu aimes… » J’étais touchée qu’il puisse faire une telle chose pour moi, de cuisiner un plat que lui n’aimait pas. Je glissais mes mains le long de ses bras avant de prendre ses mains entre les miennes. Je me dirigeais alors vers la salle à manger pour aller m’installer à table où Dia était déjà installée, attendant calmement de manger.
 

   

   
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Jeu 10 Aoû - 16:19

 

 
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 Ezebel
 

 

 
J'aime tellement nos sorties en famille. J'aime montrer à quel point j'ai la famille parfaite, une copine magnifique et une petite fille tout aussi belle que sa maman. Je ne manque pas une occasion de sortir avec elles, mon travail me prend déjà pas mal de temps. Le temps libre, j'ne manque, même quand je ne suis pas au poste, les affaires me tournent dans la tête. Je sais que je suis dans un métier où quand on quitte le bâtiment il faut arrêter de penser à notre journée et profiter des siens. J'ai jamais su le faire, je trouve que celles qui y arrivent ont un mental d'acier. Je passe mon temps à réfléchir, à vouloir être le meilleur. Pour le moment, mon couple le vit bien, Jezabel est compréhensive. Quand je lui dis que je dois travailler pour la police, elle ne dit rien, elle ne bronche pas, elle me laisse juste faire. J'ai tellement de chance de l'avoir auprès de moi. Alors pour cet après-midi, une petite excuse pour le boulot et ça passe crème. Je sais que je n'ai pas à en abusé mais je devais l'envoyer loin de moi et pendant un bon moment, sinon je n'aurais pas pu faire cette surprise ; J'avais demander à Dia de m'aider car Jezabel je la connais, elle se serait mis dans un coin de la maison et elle m'aurait regardé travailler. Elle m'aurait dit qu'elle m'embêterait pas mais sur le coup, pour cet après-midi, sa présence m'aurait déranger. Je veux vraiment que tout soit parfait pour elle, elle le mérite tellement. Alors Dia devait l'amener loin et comme sa maman ne pouvait jamais lui dire non, le tour était joué. Je veux quelque chose de plus gros que pour la première fois, cette première demande qui ne s'est jamais faîtes, pourtant la bague est la même. J'aurais pu la changer mais je n'en avais pas envie. De nombreuses fois je l'avais regardé, j'imaginais souvent la demande que je voulais lui faire. Rien de bien particulier, juste un repas, une atmosphère romantique avec pourquoi pas des bougies, un simple repas et mon genou à terre pour lui demander sa main. Aujourd'hui, ce n'est qu'un repas romantique aussi mais j'ai ajouté les photos, le porc au caramel qu'elle aime tant. Je voulais quelque chose de différent, j'ai ce mauvais souvenir de ce que je voulais faire et que je n'ai pas pu. Au moins, aujourd'hui, elle est là, elle ne risque pas de partir et on s'aime ; mon dieu que oui on s'aime. Plus les jours avancent, moins on peut se lâcher. A la vue de ses yeux qui sont mouillés, je sens que la surprise est parfaite, qu'elle aime. Je lui souris, un grand et large sourire pour la plus belle. « Bien sûr que j'ai cuisiné ça. Je sais que t'en raffole alors je voulais te faire plaisir. Ce soir, on s'en fiche de moi, c'est ta soirée. » J'essaie d'être romantique mais à un moment elle va comprendre que y'a poisson sous cailloux. Ce soir c'est Chef Malone ! Tranquillement on va jusqu'à la salle à manger où j'avais dresser la table. Une nappe blanche acheté en magasin plus tôt dans la semaine, des coupes de vin, un verre pour le soda de la demoiselle qui ne tardera pas à arriver, le beau service de Jezabel. Un bouquet de rose au milieu de la table, à mes yeux c'est parfait et j'espère qu'aux siens aussi. Dia nous fixe quand on arrive. Je ne lâche la main de ma belle que lorsqu'elle s'assoit. Je pars dans la cuisine pour sortir du frigo la bouteille de soda pour Dia. C'est vrai que c'est différent de celle que je voulais faire il y a bientôt quatre ans car entre nous se trouve Dia. Elle n'est pas dérangeante, loin de là. J'espère qu'elle aimera autant cette soirée que sa maman, j'espère qu'elle aura des étoiles dans les yeux au moment de la demande. Je n'arrête pas de regarder l'horloge de la cuisine, j'ai encore le temps, on a le temps de manger tranquillement. Je reviens dans la salle à manger avec la bouteille de soda et de vin. Je sers d'abord Dia, les enfants d'abord, c'est ce qu'on m'a toujours appris et Jezabel fait toujours comme ça elle aussi. Puis j'ouvre la bouteille de vin, je la penche légèrement au dessus du verre de Jez. « Un verre de vin mademoiselle Carpenter ? » et mes mots sont accompagnés par le rire de Dia.


 

 

 
Ezekiel Malone
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Jeu 10 Aoû - 18:02

   

   
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   Ezebel
   

   

   
D’aussi loin que je me souvenais, jamais je n’avais aimé un homme aussi fort que je pouvais aimer Ezekiel. Petite, je rêvais souvent du prince charmant qui viendrait sauver sa princesse des griffes du dragon pour l’emmener à travers la plaine sur son fier destrier. Ma mère riait souvent quand je lui en parlais et mon père disait que, étant déjà une princesse, il allait devoir surveiller celui qui deviendrait mon prince charmant. En même temps, je n’avais que sept ans à l’époque. Et en grandissant, je ne m’étais pas tant intéressée aux garçons que cela. Ceux que je rencontrais dans les écoles privées où je pouvais aller étaient… Comment dire… Superficiels et imbus de leur personne. Le problème comme souvent avec les enfants de riche. Ma famille était riche certes mais je savais que je n’étais pas parfaite. D’ailleurs, la perfection n’existe pas dans ce monde, ce n’est qu’un idéal et un idéal ne sera jamais la réalité. Je l’avais appris à mes dépends quand les journalistes anglais avaient découverts mon existence. Les regards sur moi avaient changé à partir de cette époque. Les enfants me voyaient comme une princesse anglaise et m’avoir dans leur poche leur permettaient de se rapprocher de la famille royale. Je n’étais qu’une boule de pâte à modeler entre les mains des personnes peu scrupuleuses et c’était ce qui avait forgé mon caractère. Quand j’avais été à Cambridge pour rejoindre William, j’avais vécu dans sa collocation et j’y avais rencontré Catherine, enfin tout le monde l’appelait Kate. Elle était merveilleuse avec moi, comme une grande sœur et elle me mettait du baume au cœur. Alors quand elle a commencé à sortir avec William, je pensais qu’elle avait trouvé son conte de fée. Sauf que les journalistes se sont chargés là aussi de tout faire foirer. Heureusement, ce fut sans conséquence car maintenant, ils sont mariés tous les deux. Et moi, j’étais célibataire, à regarder mon frère épouser la femme qui lui fallait. On s’amusait souvent à charrier William là-dessus, à dire qu’il était devenu vieux et avait commencé à perdre ses cheveux le jour où il avait épousé Kate. Mais pour être honnête, j’avais surtout été envieuse du bonheur de mon frère, ne sachant pas si j’aurais un jour le droit de vivre une telle chose. Je pensais que cela m’était interdit, que je ne tomberais toujours que sur des abrutis n’en voulant qu’à la fortune familiale ou à mon rang d’altesse royale anglaise. Alors, j’avais quitté l’Angleterre, partant me réfugier en Californie, là où l’on ne viendrait pas me chercher. J’étais entré en faculté de droit, pensant passer inaperçu… C’était mal joué pour le coup. J’avais alors fait la connaissance d’Ezekiel, un jeune homme de mon âge. Jamais je n’oublierais cette rencontre, elle était gravée à jamais dans mes souvenirs. Une sortie scolaire au tribunal, rien de bien palpitant. C’était dans le bus, j’étais assise seule et quatre filles étaient venues m’entourer pour m’embêter. Jusqu’au moment où un jeune homme était venu près de moi pour me proposer de venir s’asseoir avec lui et ses amis. J’avais accepté, contente d’être débarrasser des quatre pestes. J’avais alors rencontré Ezekiel, il avait volé à mon secours. Jamais je ne l’avouerais mais j’avais très certainement eu le coup de foudre pour lui ce jour-là. On avait passé la visite à discuter, à se découvrir. Et on ne c’était pratiquement plus quitté. Sauf en cours où nous avions nos petites habitudes. Et puis, notre premier baiser. Nos deux groupes d’amis réunis à la bibliothèque universitaire car nous devions travailler sur un devoir à rendre et je n’y arrivais pas. Ezekiel ne semblait pas le moins du monde intéresser par ce que nous faisions mais il accepta de m’aider et s’installa à mes côtés. On discutait, penchés tous les deux sur cette fichue feuille de papier quand il releva la tête en même temps que moi. Nos fronts se heurtèrent et on partit à rire avant d’être repris par la bibliothécaire. Mais notre fou-rire était trop important alors on dû quitter la bibliothèque. On partit s’installer sur le terrain de football américain, sous les gradins. On riait toujours, incapable de nous arrêter. Et quand enfin on pensait s’être calmé, il suffisait que l’on se regarde pour repartir de plus belle. J’ignore encore qui fit le premier pas mais rapidement, on se retrouva à s’embrasser. Mon premier baiser, celui qui vous donne des papillons dans le ventre, celui qui vous fait vous sentir toute chose. J’avais dû m’accrocher au jeune homme pour ne pas tomber. On avait commencé à nous fréquenter à partir de ce jour-là. On avait pensé surprendre nos groupes d’amis respectifs mais ce fut nous qui furent surpris quand ils nous répondirent d’une même voix: "ENFIN!!" Mais la suite n’avait pas été aussi heureuse que je le pensais. A partir du jour où j’avais fui la Californie, je ne pensais pas revoir le jeune homme, mon premier et dernier amour. Pour preuve, je n’avais pas été capable de refaire ma vie, préférant élever seule notre fille plutôt que de l’élever avec un homme qui n’atteindrait pas la cheville de son père. On dit que l’amour rend aveugle mais sans Ezekiel, je ne voyais plus rien. J’étais comme aveugle de la beauté du monde, de ce qu’il peut y avoir de bien dans une vie. Je ne voyais plus que ma souffrance et celle que j’infligeais à Dia. Et puis, les retrouvailles, au vernissage de la galerie d’art. Le coup de foudre, à nouveau. Et nous voilà désormais une famille, Dia à nos côtés. Jamais je ne regretterais le retour d’Ezekiel dans ma vie, il m’avait rendu mon cœur que j’avais abandonné en Californie et m’avait en même temps offert sa vie. Plus rien ne pourrait nous séparer désormais. Je pensais à tout cela alors que je regardais les photos que le jeune homme avait accroché dans l’entrée, suspendues à des fils. Tous nos souvenirs heureux me revenaient en mémoire, me portant les larmes aux yeux. J’étais tellement heureuse d’avoir retrouvé le jeune homme, qu’il m’ait pardonné ma terrible erreur. Je traversais la pièce jusqu’à lui avant de l’embrasser, étonnée qu’il ait fait un plat que lui détestait. Avait-il quelque chose à se faire pardonner? Je ne voyais pas quoi et de toute façon, Ezekiel n’avait rien à se faire pardonner. Savoir qu’il avait cela juste pour me faire plaisir, c’était un bonheur sans nom. Il faudra que je lui rende l’appareil, un jour… Sauf que moi et mes talents de cuisinière… Bien que je m’étais amélioré avec Dia. Une fois installé à table, je regardais le jeune homme s’affairer pour que tout soit parfait. Rien que sa présence rendait le moment parfait et je ne pus m’empêcher de sourire amoureusement en le voyant s’occuper de Dia. Ezekiel était tellement un bon père pour elle. Même si cela ne faisait que six jours qu’ils vivaient réellement ensemble, le père et la fille avaient réussi à construire une complicité en un rien de temps. J’adorais quand il rentrait du travail, Dia avait pris l’habitude de courir au-devant de lui dès qu’il passait la porte. J’adorais les voir tous les deux, jamais je ne pourrais m’en lasser. Je me voyais avec mon propre père, bien que ma relation n’ait jamais été aussi fusionnelle que celle qu’avait Ezekiel et Dia. Mon père était plus froid, moins dans la démonstration que pouvait l’être le jeune homme. Mais je savais qu’il m’aimait et quand il me le montrait, je ne risquais pas de l’oublier. Comme cette fois où ma grand-mère avait perdu un de ses fameux Welsh Corgys, des chiens avec lesquels j’adorais jouer étant enfant. Mon père m’avait alors pris dans ses bras avant de me caresser les cheveux tout en essuyant mes larmes. Il m’avait chanté la berceuse que maman me chantait pour m’endormir quand j’étais bébé et j’avais réussi à sécher mes larmes. J’avais souvent chanté cette berceuse à Dia quand elle avait du mal à s’endormir plus jeune. Je repris contact avec la réalité quand Ezekiel me proposa du vin. « Avec plaisir, monsieur Malone. » Le rire de Dia redoubla et je tournais les yeux vers elle en souriant. Elle était tellement mignonne quand elle riait. Je ne tardais pas à goûter le vin ainsi que la nourriture. Et honnêtement, le porc au caramel de mon homme était juste merveilleux. Rien à voir avec celui que j’avais mangé lors de notre soirée tous les deux, au restaurant chinois de la ville. On sentait que c’était fait main et je ne pus que soupirer de plaisir. « Tu t’es surpassé pour le coup, c’est très bon. » Je reportais mon regard sur le jeune homme en souriant. Dia aussi mangeait de bon cœur ce que son père avait préparé. Tout en mangeant, on discuta de tout et de rien, Dia n’hésitant pas à parler de notre après-midi entre filles. Je jetais discrètement un regard à l’horloge du salon, 21h30 approchait et je me demandais bien ce que j’allais avoir comme petit cadeau ce soir.
 

   

   
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▲ Cupidon : Il l'a aimait, elle a disparut, elle a cru à de mauvaises choses, maintenant il le sait. Maintenant qu'il l'a retrouvé. Il était en ville car il avait son nom et son prénom portée par une femme de la ville et il s'est avéré que c'était elle. Il n'a pas plus cherché que ça une fois en ville mais c'est lors d'une mission de surveillance à la galerie d'art qu'il tombe dessus. Il l'a raccompagné chez elle car elle n'allait pas bien, il aurait tout fait pour elle de toute façon. Il a vu une petite fille, il ignoré qui elle était, au début il a cru à un autre homme dans la vie de sa belle puis elle lui a avoué que c'était sa fille, le fruit de leur amour. Il n'arrive toujours pas à y croire. Ils viennent de se retrouver mais ils commencent à se pardonner et surtout ils continuent de s'aimer.
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Ezebel


J'adorais le droit, je trouvais ça tellement intéressant. Si je n'avais pas décidé d'être policier, je serais sûrement devenu avocat. J'aime défendre les gens, qu'ils soient bons ou mauvais car l'homme est naturellement bon. Alors que certains se demandent comment on peut aider un homme qui a tué toute sa famille, j'ai envie de leur dire qu'on est tous instable, pas tous au même point mais cet homme en question l'était plus et n'a pas eu la force d'être plus fort que cette instabilité. J'aimais regardé des procès à la télé, il y avait une chaîne qui en passait régulièrement et moi j'avais des étoiles dans les yeux quand je les regarder. Le droit c'était pour moi une seconde nature et encore aujourd'hui, à la police on travaille avec des avocats, même si on se tire dans les jambes à chaque fois, j'aime voir leur répartis sachant que je ne suis pas du genre à craquer. La police et le droit ce sont des milieu différents mais on est jamais loin l'un de l'autre. Surtout, je ne pensais pas que le droit aller m'apporter la personne la plus importante dans ma vie. C'était ma première année de droit en Californie, j'étais tellement stresser, surtout le premier jour. Je me rappelle avoir dit à Charlotte que je ne voulais plus y aller, elle m'a taper sur le bras et m'a obligé à y aller, me menaçant d'avoir des problèmes avec les parents si je n'y aller pas. J'avais l'air d'un gamin qui rentre au collège, dans un nouvel établissement, avec de nouveaux élèves. Il y en avait que je connaissais de vu, d'autres étaient mes amis. On est tous stresser, il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre, en y repensant on en rigole mais sur le coup on ne faisait pas les malins. Alors que d'autres voulaient faire les caïds, nous on voulait juste trouver un rang dans l’amphithéâtre pour rester ensemble. On pensait être en avance mais on n'avait pas fait gaffe que tout le monde allait être en avance. On n'a pas eu de rang et je me suis retrouvé seul comme un con sur ma rangée. J'étais mort de trouille. Pourtant j'ai posé mes yeux sur elle, elle rentrait dans l’amphithéâtre, elle n'avait pas l'air d'être plus rassuré que moi et ça m'a fait du bien. Elle ne m'a pas vu ce jour là alors que moi je ne pouvais que la regarder. J'ai passé ma matinée à la regarder, même de dos elle était sublime. A la pause j'ai eu envie d'aller vers elle, de m'asseoir à ses côtés, pourquoi pas apprendre à la connaître mais mes amis ont voulu que je me précipite avec eux pour passer les dernières heures avec elle. Comment refusé ? Comment leur avouer que j'étais sous le charme d'une inconnue ? D'une fille dont je ne connaîtrais peut-être jamais le nom. Son nom, je l'ai appris quelques jours plus tard. Elle attirait le regard des hommes même si ça se voyait, elle était là pour le travail, pas pour nous. Je n'ai pas osé lui parler jusqu'au jour où on a fait une sortie scolaire. Mon état était complètement différent de celui de la rentrée, on allait visité un tribunal et j'avais l'impression d'être un gamin dans un magasin de jouets. Il y avait ces gars autour d'elle, à son visage je voyais qu'elle ne voulait pas d'eux. Vous connaissez ce genre de moment où vous vous dîtes «  c'est maintenant ou jamais » ? Ben c'était un moment comme ça, je lui ai tendu la main pour qu'elle vienne avec moi, avec mes amies. J'ai senti le premier contact, je me rappelle toujours de l’intonation de son merci. Jamais je n'aurais cru que le droit allait m'apporter Jezabel. Je ne me pensais même pas capable de lui parler un jour et ce jour là, dans le bus, j'ai bien fait de lui tendre la main, de lui proposer de venir avec moi à l'avant du bus. Dès qu'elle m'a parlé, je suis tombé amoureux d'elle. Je n'avais jamais entendu sa voix d'aussi près et j'étais sous le charme. Aujourd'hui encore, je suis amoureux de sa façon de parler, de formuler ses phrases, de son rire que se mêlent à ses paroles, comme à cet instant là. Son rire accompagné de celui de notre fille. Qui aurait cru qu'on en serait là ? Est-ce qu'elle a toujours des contacts avec nos amis de faculté ? Est-ce que dès la demande elle les appellera pour leur dire la bonne nouvelle ? Allons-nous nous retrouver à notre mariage ?  Je lui sert son verre de vin, remplis le mien et part chercher les assiettes tout juste dresser. Le repas se passe bien, Dia parle beaucoup et ça me fait du bien car je sens le stress monter en moi. Je pensais pouvoir y arriver mais en faite non. J'ai peur. Plus les minutes passent, plus j'essaie de trouver mes mots car j'ai tout oublier à ce que je devais dire. J'espère ne pas sembler bizarre aux yeux des filles, j'espère qu'elles ne se posent pas trop de questions sur mon comportement. « Merci beaucoup. » dis-je avec un sourire quand elle me dit que c'est très bon. C'est un bon point pour moi. 21H20, plus que dix minutes. Je fais des allers retours vers la cuisine pour changer les assiettes, pour leur offrir le dessert. Seul dans la cuisine, je me penche en avant vers l'évier, je prend le temps de réfléchir, je souris au souvenir de notre rencontre, de mes yeux posés sur elle dès son entrée dans l’amphithéâtre. Je ne peux pas m'arrêter là, si proche du but. C'est tout ce dont on a rêvé tous les deux. Je monte discrètement à la chambre où je récupère la boîte avec la bague. Je fais durer les minutes pour revenir à 21h30, pour ne pas avoir à attendre devant elle sans n'avoir rien à dire. Dès que ma montre affiche 28, je redescend. Je réapparaît dans la salle à manger avec ma boîte, la même que les autres jours pour ne pas paraître bizarre. Je pose la boîte devant Jez avec un grand sourire. J'ai hâte qu'elle l'ouvre. Dedans se trouve le petit boitier avec la bague dedans avec une lettre. Cette lettre, c'est celle que j'ai envoyé à ma mère à la suite de mon premier baiser avec Jezabel. Elle était en tournage et les téléphones ce n'est pas aucun ce qu'on connaît aujourd'hui. Alors, je lui ai envoyé une lettre, lui disant que j'étais amoureux mais que je ne savais pas comment faire pour qu'elle soit heureuse, car je n'étais jamais tombé amoureuse comme je l'étais. Juste des mots d'adolescent, de jeune adulte que ma mère m'a redonné un jour, elle m'avait répondu de veiller à toujours la faire sourire. J'avais gardé la lettre avec beaucoup de soin car c'était mes premiers mots sur mes sentiments. Jezabel ne l'a jamais lu et je pense que ce serait bien qu'elle la lise, qu'elle se fasse une idée avec la date de mon amour pour elle dès le premier jour.




Ezekiel Malone
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Ven 11 Aoû - 23:13

   

   
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   Ezebel
   

   

   
J’étais tellement contente d’avoir eu l’idée de m’exiler en Californie, j’avais pu rencontrer Ezekiel. Même si tout n’avait pas été rose entre nous, tout était rentré dans l’ordre. Je ne regretterais jamais mon choix de quitter l’Angleterre même si ma famille m’avait terriblement manqué. Aujourd’hui, j’étais heureuse avec l’homme que j’aimais et notre fille. Dia faisait mon bonheur et celui de son père, elle était heureuse et épanouie, cela se voyait. A l’école, on me racontait souvent qu’elle était transformée depuis l’arrivée de son père dans sa vie mais je ne pouvais que le comprendre. Même si elle ne le connaissait pas, Kiel manquait terriblement dans la vie de la petite fille. Mais il avait également manqué dans la mienne. Mais aujourd’hui, nous étions enfin réunis et l’avenir nous souriait. Parfois, je repensais à la fac de droit où nous nous étions rencontrés. J’avais coupé les ponts avec tous les amis que je pouvais avoir là-bas mais certains m’avaient recontacté. Si les messages étaient restés sans réponse au début, j’avais finalement donné de mes nouvelles depuis le retour du jeune homme dans ma vie. Au début, j’avais eu peur qu’ils ne disent à Ezekiel où je me trouvais et aujourd’hui, je regrettais de ne pas l’avoir fait. Après tout, nous nous serions retrouvés plus rapidement si j’avais donné de mes nouvelles. Mais il avait quand même réussi à retrouver ma trace, même si cela lui avait pris trois ans. J’étais contente que lui aussi ait eu le courage de quitter la Californie où il avait toute sa famille pour venir au Canada, sans même être certain que la fameuse Jezabel Carpenter qu’il avait trouvé étai bien moi. Pendant le repas, Dia ne cessa de parler, me faisant sourire et accaparant complètement mon attention si bien que je ne remarquais pas le stress d’Ezekiel. Rapidement, j’eus terminé mon assiette et je ne pus que complimenter le jeune homme sur son repas, c’était merveilleusement bon. En plus, je savais qu’il détestait le porc au caramel alors savoir qu’il avait fait tout cela pour moi, pour me rendre heureuse, c’était réellement merveilleux. Il se leva alors pour changer les assiettes et nous ramener le dessert. Dia ne tarda pas à attaquer mais je voulais attendre le retour du jeune homme avant de manger. Sauf qu’il ne revint pas. Enfin, pas tout de suite. Je le vis finalement réapparaître comme par magie avec une nouvelle petite boite, comme celles qu’il m’avait déjà données depuis six jours. J’avais hâte de voir quel souvenir elle pouvait bien contenir et je lui fis mon plus beau sourire quand il me donna la fameuse petite boite. Je ne tardais pas à ouvrir cette dernière, tombant sur une feuille de papier. Je ne me souvenais pas d’une telle lettre dans ma boite à souvenir mais en même temps, j’avais gardé tellement de chose que cela ne m’aurait pas étonné que je sois passé à côté de ça. Ouvrant la feuille, je commençais la lecture, comprenant rapidement qu’il s’agissait en réalité d’un souvenir de Kiel. Une lettre qu’il avait envoyée à sa mère pour lui parler de moi. Je compris qu’il l’avait écrite le soir où nous nous étions embrassés pour la première fois et je sentis rapidement l’émotion me gagner. Les mots que je lisais me touchaient profondément, plus que ce que j’aurais pensé. Je dus même arrêter ma lecture pour cligner des yeux, ne voulant pas pleurer. Je savais qu’Ezekiel détestait cela, même quand il s’agissait de larmes de bonheur. Je finis de lire la lettre avant de remarquer une petite boite dans la grande boite. Il avait eu envie de jouer aux poupées russes apparemment. Posant la lettre sur la table en faisant attention à ne pas la tâcher, j’ouvris le petit boitier pour découvrir une magnifique bague. J’étais littéralement sous le choc et je levais les yeux vers le jeune homme, me demandant si c’était bel et bien ce que je pensais. Venait-il tout simplement de trouver la plus belle des façons pour me demander en mariage? J’avais envie d’y croire, je ne voyais pas d’autres explications possibles. Je n’avais jamais vu cette bague de ma vie, elle ne faisait pas partie des souvenirs que nous avions alors cela ne pouvait être que cela. Je glissais une main sur ma bouche, n’arrivant plus à m’empêcher de pleurer.
 

   

   
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Mar 15 Aoû - 16:21


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Dans tous les cas je l'aurais connu, je crois au destin. J'en suis sûr que les principales choses de nos vies sont déjà écrites et que ce n'est que le reste que l'on peut changer. Je pense aussi que parfois il y a aussi des malentendus, des problèmes qui peuvent faire que la vie s'arrête plus vite ou autre. Mais si nos vies ne sont pas écrites comment allez expliqué que certaines personnes ne meurent pas après un gros accident alors que d'autres meurent dans les petits carambolages ? C'est bizarre non ? Mais en tout cas, je savais que Jezabel était écrite dans ma vie, qu'il devait y avoir son nom quelque part. Si on ne se serait pas rencontré à la fac, on aurait réussis à le faire autrement. On a tous une âme sœur et elle est la mienne, je n'en doute pas. Je n'ai jamais aimé quelqu'un plus fort que Jezabel et quand je nous vois, j'ai l'impression de voir mes parents. Je veux qu'on soit comme eux, qui même après des années de mariage s'aiment toujours autant. Je veux aimer Jez jusqu'à la fin de ma vie. Il y a trois ans, alors que ça ne faisait pas si longtemps que ça qu'on sortait ensemble, je voulais déjà l'épouser, je savais déjà qu'il n'y avait qu'elle. Quand elle est partit, je n'ai même pas essayer d'aller voir ailleurs, à quoi bon ? Je savais qu'on n'allait pas me faire sentir comme la brune savait le faire. Je n'aurais pas ressentis le même plaisir aux caresses, ni rien. Même si j'ai mis un an à commencer mes recherches, j'étais en colère contre le monde entier, y comprit Jezabel. Je ne savais pas pourquoi elle était parti. Mais c'est surtout que je ne savais pas où j'avais fait un faux-pas, j'avais bien dû en faire un pour qu'elle parte or j'avais beau réfléchir, je ne trouvais rien. C'est fou qu'il a fallut que je la retrouve, que l'on parle pour que je comprenne où j'avais fait mon faux-pas, je ne lui avais jamais présenté ma sœur et c'était là le problème. J'aurais dû le faire, même aujourd'hui encore je lui ai jamais présenter Charlotte car le temps nous a manqué, car il y en a toujours l'un de nous qui est occupé à faire autre chose. Par contre je lui ai montré des photos d'elle pour ne plus qu'elle se trompe, pour ne pas qu'elle se refasse des idées. Je refuse de la perdre à nouveau c'est pour ça que je vais lui faire ma demande. Jezabel a toujours aimé ce qui sort de l'ordinaire, ce qui est romantique alors je devais être à la hauteur de ses attentes. Je sais que vu comment elle m'aime, même avec la pire demande de mariage elle aurait dit oui mais je veux qu'elle s'en souvienne, je veux qu'elle en parle à ses frères, à sa famille et quand elle en parle, je veux qu'elle ait des étoiles dans les yeux. Alors j'avais trouvé l'idée des boîtes sur internet. Enfin, c'était une autre idée que j'ai remodeler à ma sauce. Je voulais lui offrir des choses mais pas aussi bien que le dernier cadeau qui serait la bague, les souvenirs c'était parfait. Elle allait se poser des questions, peut-être me croire fou mais je sais qu'elle sera heureuse. Pour la lettre, ça m'est venu au dernier moment, je ne voulais pas juste qu'elle soit attiré par la boîte avec la bague, ça serait trop rapide à mon goût alors c'était parfait la lettre. Ca à l'air puérile ce que j'écris dedans, ce sont des mots de jeunes adultes qui pensaient être amoureux, qui se décidé à dire à sa mère qu'il était amoureux mais qu'il ne savait pas comment faire, qui voulait des conseils du genre « comment il a fait papa avec toi ? » ils étaient mon exemple, j'étais obligé de leur poser des questions. Mon père a su pour Jez et moi quand ma mère est rentrée de son tournage. C'est elle qui lui a dit que j'étais amoureux lors d'un repas, moi j'étais rouge, pas de honte mais je ne savais pas où me placer. En plus, Charlotte était au courant en même temps que lui et là ma mère a commencé à dire chaque mot de ma lettre, Charlotte me regardait avec de grands yeux alors que mon père me souriait. Je n'aime pas la voir pleurer, pourtant, je trouve que c'est magnifique ses larmes aux yeux quand elle lit la lettre. J'ai l'impression d'avoir fait le meilleur choix possible. Puis elle prend la boîte avec la bague et là mon coeur s'accélère, elle va savoir, elle va comprendre c'est obligé, elle n'est pas bête. Elle me regarde, de con regard je comprend qu'elle me demande si c'est ce qu'elle croit. Je prend doucement la boîte de ses mains et pour faire la version traditionnelle, je pose un genou par terre et tend la boîte ouverte vers elle. « Jezabel Windsor Carpenter. Je t'aime. Je me rappelle de ce jour où j'ai posé le regard sur toi, tu ne m'as sûrement pas vu mais en quelques secondes les battements de mon coeur se sont accélérés. J'avais jamais connu ça, ça m'a fait bizarre. Plus on se rapprochait plus j'entendais mon coeur battre. Je n'attendais pas l'amour pourtant tu es arrivé, tu as su m'aimer. Je ne me suis jamais aussi bien que dans tes bras. Ta voix me donne l'impression d'être le seul pour toi et c'est la plus belle sensation au monde. Je ne regrette en rien ce qu'on a vécu. Je sais qu'on a continué à s'aimer malgré la distance, je n'ai pas arrêter de penser à toi, j'espérais tellement te revoir. A la galerie d'art, j'ai cru rêver, j'ai cru que tu me manquais tellement que tu n'étais pas vraie, pourtant si et mon coeur s'est remis à battre fort. Regarde cette magnifique petite fille que tu m'as donné. Elle est parfaite, adorable et elle te ressemble tellement, je suis si fière d'elle, de toi, du travail que tu as dû faire toute seule. Je te promet d'être là jusqu'à la fin, de vieillir avec vous, je ne vois ma place nul part d'autre qu'ici. Je t'aime tellement. Jezabel, veux-tu m'épouser ? »




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Ven 18 Aoû - 11:44

   

   
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D’aussi loin que je me souvenais, j’avais toujours cru en l’amour éternel. Je savais que quelque part dans le monde, quelqu’un m’attendait pour m’aimer jusqu’à la fin. Je croyais aux âme-sœurs, ces âmes faites pour n’aimer qu’une personne quoi qu’il puisse arriver. Et j’avais trouvé la mienne en Californie, quand j’étais partie faire mes études de droit là-bas. Je ne doutais pas que j’aurais rencontré Ezekiel un jour, nous rencontrons toujours la personne faite pour nous, quel que soit la façon d’y parvenir. Et une chose était certaine, je ne cesserais jamais d’aimer le jeune homme. Parce que même quand j’avais cru qu’il m’avait trompé, je n’avais pas pu m’empêcher de l’aimer. Si notre couple avait survécu à cette histoire, il pouvait survivre à tout. Ce soir était l’exact exemple de notre amour. Un repas romantique avec mon homme et notre fille, un vrai tableau de famille. J’aimais ce que nous étions devenus, j’aimais voir le regard attendri mais fier qu’Ezekiel pouvait poser sur sa fille. Je ne changerais l’histoire pour rien au monde. Je ne savais pas où nous en serions si je n’étais pas parti quand je l’avais vu avec sa sœur et je ne le saurais jamais. Alors que Dia dévorait son dessert, je vis le jeune homme réapparaître dans le salon avec mon petit cadeau du soir. C’était désormais ainsi depuis six jours et j’avais hâte de voir le souvenir qu’il avait bien pu glisser à l’intérieur. Ouvrant la boite, je tombais avec surprise et étonnement sur une lettre que j’entrepris de lire. Je découvrais les premiers mots du jeune homme sur notre relation et sur notre amour. Je ne l’avais jamais lu, j’ignorais même jusqu’à l’existence d’une telle lettre. J’eus beaucoup de mal à retenir mes larmes en lisant les mots écrits sur cette simple feuille de papier mais j’y étais arrivé. Posant la feuille à côté en faisant attention à ne pas la tâcher, je pris la petite boite qui se trouvait en dessous pour découvrir une bague tout ce qu’il y a de plus belle. Je n’arrivais pas à y croire et je portais mon regard sur le jeune homme pour être certaine d’avoir bien compris ce qu’il voulait dire par là. Je n’osais pas espérer et pourtant… Ezekiel s’approcha de moi pour prendre la petite boite et poser un genou à terre. S’en était trop pour mes nerfs et les larmes commencèrent doucement à couler sur mes joues. Je l’écoutais me parler de notre relation, de ce qui faisait que nous étions nous mais également de Dia. Je n’arrivais plus à réfléchir correctement mais je comprenais tout ce qu’il me disait. Quand il me posa enfin la question que j’attendais, je fermais les yeux tout en posant ma main sur son torse. Il fallait que je parle, que je lui réponde mais j’étais incapable de penser correctement. Je ne savais même pas si j’allais être capable de parler. Respirant profondément, j’avais beau essuyer mes joues, les larmes revenaient. Ma gorge était serrée mais je réussis à parler suffisamment longtemps et clairement pour lui donner ma réponse. « Oui, bien sûr que oui. » Quittant ma chaise, je m’agenouillais devant le jeune homme avant de me glisser entre ses bras, glissant les miens autour de son cou, mes mains dans ses cheveux. Je crois que je n’aurais jamais pu rêver plus belle demande en mariage. Ma tête glissée dans son cou, je n’arrêtais pas de pleurer, incapable de me calmer.
 

   

   
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Mer 23 Aoû - 22:12


No, I won't be afraid Just as long as you stand, stand by me

Ezebel


Je ne me vois plus ma vie sans elle, j'ai déjà vécu trois ans sans son amour et c'était limite si j'allais abandonné à tenter de survivre. Je me battrai pour nous, pour Dia, pour notre famille en général. Maintenant que je les connais toutes les deux, ça va être dur de me les enlever. Quand je la vois, quand je comprend à quel point Jezabel m'aime, je me sens tellement chanceux d'être moi, beaucoup rêverait de voir les yeux que Jez porte sur moi. Je ne peux pas me plaindre. J'avais en plus la chance de l'avoir rencontré alors que j'étais encore jeune. On a toute notre vie devant nous et on va pouvoir construire notre vie dans un long avenir. Même si je l'avais rencontré à soixante ans, elle aurait valu le coup d'attendre autour de temps. Même, elle est véritablement ma première petite amie, j'avais du mal avec les filles ou tout juste ça ne m'intéressait pas de perdre du temps avec un pseudo amour, avec Jez, j'avais su tout de suite que je n'allais pas perdre de temps à l'aimer. Mais voilà, j'ai connu beaucoup d'ami qui se sont fait avoir par leur première petite amie et moi j'avais eu la chance de rencontrer l'amour de ma vie en première. C'est pour ça que ce soit que je veux la demander en mariage. C'est comme si on arrive dans un moment de nos vies où on se dit que plus rien ne va nous arriver, qu'on pourrait être plus fort que tout et qu'on ne pourra qu'apprécier notre vie de marié. Est-ce que j'ai peur que ça retombe entre nous ? Non, jamais, on ne cessera jamais de s'aimer, de faire attention à l'une ou à l'autre. Ce soir, c'est mon dernier cadeau, mon plus important, celui avec la lettre qui lui prouve mon amour car je ressens toujours la même chose mais contrairement au moment de cette lettre, je n'ai plus peur de mes sentiments, je pourrais le crier sur tous les toits, et la bague, une jolie bague qu'une dame bien gentille m'a aidé à choisir. Je connaissais les goûts de Jez mais j'étais incappable de savoir ce qui lui ferait énormément plaisir pour cette demande. J'ai discuté un peu avec cette dame et elle m'a dit qu'à travers mes yeux elle a compris ce qui allait être le mieux pour Jezabel. Sur le coup, elle m'a fait peur, j'ai faillit partir mais je l'ai laissé me montrer et elle n'avait pas tord, c'était parfaitement ce qui correspondait à celle que j'aime. J'étais tout stresser, plus je voyais l'heure avancer, plus je me disais que je devais me lancer pour lui demander. C'est juste le stress de la demande, pas de la réponse car je la connaissais déjà. Elle m'aurait dit non je crois que je me serais enterré vivant. Je me suis lancé, j'ai pris la boîte de ses mains, j'ai posé mon genou par terre et j'ai fait mon discours. Je ne devais pas du tout dire ça au début, ce n'était pas les même formulations mais j'ai tout oublié, j'y suis juste allé à l'instinct, ça n'a pas fait comme de la récitation comme ça. Elle pose sa main sur mon torse quand je lui pose la question, elle ne me répond pas tout de suite, sûrement submergé par l'émotion, elle a toujours été comme ça ma Jezabel. La voir pleurer ne me fait pas mal au coeur, je sais qu'elle pleure pour moi, pour ma demande et ça me fait plaisir. Ce que j'ai fait à marcher, j'ai réussis à lui faire plaisir, à la rendre heureuse. Après quelques secondes elle ne peut que me dire oui, c'est le plus beau oui que j'ai entendu de ma vie. Je vais pour lui prendre la main qu'elle se jette dans mes bras. Alors, alors je la garde contre moi. J'embrasse son cou, comme pour lui montrer que c'est réel, qu'on est réel. Je caresse doucement ses cheveux, espérant qu'elle se calme un peu. « Tu seras la plus heureuse Jezabel. » Je ne sais pas si c'est bien de lui avoir dit ça, j'ai peur qu'elle pleure encore plus.




Ezekiel Malone
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Sam 26 Aoû - 11:52

   

   
No, I won't be afraid Just as long as you stand, stand by me

   Ezebel
   

   

   
La soirée avait été superbe, j’étais tellement contente de pouvoir la passer avec Ezekiel et Dia que même si elle avait eu un couac, je ne l’aurais même pas remarqué. Pour preuve, mon homme c’était échappé de table pendant de longues minutes mais je ne l’avais remarqué que lorsqu’il était finalement revenu avec une nouvelle petite boite. Je m’étais alors imaginé quel souvenir pouvait être glissé dedans, comme cela était le cas depuis qu’Ezekiel avait commencé à m’offrir une boite à 21h30. Mais ce soir, ce n’était pas un de mes souvenirs, c’était un souvenir qui appartenait au jeune homme et dont j’ignorais jusque-là l’existence. Je fus profondément touché par les mots que je lisais sur la feuille avant de prendre la petite boite qui se trouvait caché sous la feuille. Et en l’ouvrant, je découvris une magnifique bague. Mais je ne savais pas si c’était ce que je pensais alors je levais les yeux vers Ezekiel, voulant une confirmation. Et je compris que c’était effectivement une demande en mariage quand il posa genou à terre en me faisant un monologue qui me mit les larmes aux yeux. Après quelques instants à pleurer sans pouvoir me calmer, je finis par pouvoir donner ma réponse au jeune homme. Et c’était oui. Bien sûr que c’était oui. J’avais vécu les pires années de ma vie loin de lui alors maintenant que je l’avais retrouvé, je ne voulais plus le perdre. Je me glissais dans ses bras, continuant à pleurer. Mais je commençais doucement à me calmer, finissant par me redresser quand il ajouta que je serais la plus heureuse. Je glissais mes mains sur les joues de mon désormais fiancé en souriant. « Nous allons être heureux Kiel, je te le promets. » Je finis par lui tendre ma main pour qu’il puisse mettre la bague à mon doigt. Je l’avais un peu coupé dans son élan quand il avait voulu le faire et je m’en voulais un peu. Une fois la bague au doigt, je pris quelques secondes pour la regarder à nouveau avant de me tourner vers le jeune homme pour déposer mes lèvres sur les siennes, glissant mes bras autour de son cou.
 

   

   
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