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Lun 4 Sep - 16:32

   

   
Moira Carter

   

   

   
base du personnage

   Nom. Carter, c’est le nom de ma mère. A la base, je m’appelais Chaumet… Oui, comme le créateur de bijoux de luxe. Mon père était un descendant de cette si prestigieuse famille. Prénom. Moira est un prénom que j’apprécie beaucoup. Il a été choisie par ma mère, pour faire honneur à ses origines irlandaises. Surnom. Moï, c’est le prénom que mon père utilisait de son vivant. Désormais, on m’appelle surtout Ira ou maman. Âge. J’ai 28 ans depuis quelques semaines. Date de naissance. 29.06.1989. Lieu de naissance. Je suis née à Limerick, une ville d’Irlande. Origines. Je suis irlandaise de sang, ma mère étant elle-même irlandaise. Mon père m’a transmise ses origines françaises. Quartier. J’habite à Riverwylde, avec mon fils Allen de 7 ans. Date d'arrivé. Il y a tout juste deux jours.
   

   

   

   
apparence physique

   Tatouage. J’ai un tatouage sur les côtes sous le bras droit. La date de naissance de mon petit prince. Et il y a quelques mois, j'ai sauté le pas d'un nouveau tatouage. Il représente un E dans une rose et est situé sur mon épaule gauche. Piercing. Plus jeune, j’avais un piercing au nez, que mon beau-père a toujours détesté mais qui faisait rire ma mère. Je ne l’ai jamais remis après mon accouchement. Visage. On m’a souvent confondu avec Chloe Bennet. Mais cela ne m’a jamais réellement dérangé.
   

   

   

   
amour

   Orientation Sexuel. Les hommes, sans aucune exception possible. Statut Civil. Célibataire. Mais ne rêvez pas messieurs, mon coeur a toujours été pris par le même homme... Ancien Partenaire. Je n’ai eu que deux partenaires dans ma vie. Miguel Alboran a été mon deuxième amant mais il n'a jamais été question de sentiment, juste de sexe pour que je puisse me venger de l'homme qui m'avait fait souffrir... Enzo Alboran, son grand frère et l'homme que j'ai toujours aimé. Il a été mon premier amour et sera le dernier. Miguel Alboran est le père d'Allen au passage, enfin, c'est ce que je crois.
   

   

   

   
Professionnel

   Occupation. Actuellement, je suis médecin urgentiste. Je ne le suis que depuis trois mois, ayant pris du retard dans mon cursus à cause de ma grossesse. De plus, je suis la principal actionnaire dans l’entreprise de bijoux Chaumet, mon père m’ayant légué ses parts quand il est décédé. Lieu de Travail. Heatherfield Regional Hospital, dans le quartier de Medical Boulevard. Anciens Jobs. J’ai été serveuse dans un petit café pour payer mes études, l’argent que j’ai reçu des parents du père de mon enfant m’ayant servi à payer tout ce que je voulais pour mon fils. Objectif de carrière. J’ai tout ce que je voudrais dans ma vie professionnelle. Je ne suis certes que médecin urgentiste vous diront certaines personnes mais cela me convient parfaitement. Je gagne parfaitement bien ma vie.
   

   

   

   
Entourage

   Parents. Christian Chaumet est mon père. Du moins, il l’était… Il était le descendant d’une richissime famille de bijoutier parisien et étant fils unique, il a hérité de la fortune familiale. Il était propriétaire de l’entreprise familiale à sa mort, il y a trois mois désormais. Il a épousé Birgit Carter, une jeune avocate irlandaise venu faire ses classes à Paris. Mais quand j’avais 5 ans, ils ont divorcé et ma mère a retrouvé l’amour dans les bras de Nolan Almor, un vétérinaire sud-africain. Frères et Soeurs : J’ai un petit frère et une petite sœur, tous les deux jumeaux. Ils sont nés de l’union entre ma mère et Nolan. Il s’appelle Phil et elle, Juliette. Ils ont 18 ans tous les deux et je les adore. Enfants : J’ai un fils, un petit garçon de sept ans nommé Allen. Il fait ma fierté même si j’aurais aimé qu’il naisse dans un autre milieu familial, élevé par une mère célibataire qui avait du mal à trouver du temps pour l’élever avec son emploi du temps. Animaux de compagnie. Allen a absolument voulu avoir un chien alors on en a pris deux... Nous avons donc un Husky nommé Ratatouille et un Golden Retriever nommé Cassoulet… Ne jamais laissé un enfant choisir les prénoms. Autres. Enzo Alboran: C’est mon amour de jeunesse, l’homme qui n’a pas hésité à me quitter alors que nous avions le projet de nous installer ensemble. Je l’ignore encore mais c’est lui le réel père de mon enfant.
   

   

   

   Pseudo. Elinou. Prénom. Harley. Âge. 29 ans. Connexion. Tous les jours . Groupe.  Vers l’âge adulte. Inventé. Scénario. Pré-Lien. Poste Vacant Sorti tout droit de ma petite tête, avec des idées de Soso. Autres comptes. Jezabel Carpenter, Kelsey O’Hara, Maddie Roy, Eugène Briar et Gwendal Rosenbach.

   
Code:
<pris>Chloe Bennet</pris> <w>▲</w> Moira Carter
   

   
   

   
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Lun 4 Sep - 16:33

   

   
Once upon a time

   

   

   
Ireland's call
On pourrait croire que la vie est un long fleuve tranquille quand on est enfant. Nous sommes souvent bercés d’illusions, entretenu par les films pour enfants que nos parents peuvent nous faire regarder. Pour ma part, j’ai grandi en pensant que lorsque je rencontrerais l’amour, ce serait pour toujours… Merci Disney… Ma mère était une toute jeune avocate quand elle a rencontré mon père, en France. Birgit Carter, tout juste âgée de 23 ans a rencontré Christian Chaumet lors d’une soirée post-partiel. Elle ne savait pas grand-chose de lui mais cela a suffi pour qu’elle en tombe éperdument amoureuse. Six mois plus tard, ils se mariaient. C’est ainsi qu’elle a découvert qui était réellement l’homme qu’elle aimait. Christian Chaumet, unique héritier de la célèbre bijouterie de luxe Chaumet. Elle n’a jamais réellement réussi à se faire à cette idée, d’autant que sa belle-famille ne l’aidait pas à se sentir comme faisant partie d’un tout. Elle se prenait souvent des réflexions au visage concernant le manque d’argent de ses propres parents et le fait qu’elle ne soit qu’une avocate parisienne et pas juge. Alors, d’un commun accord avec son époux, ils sont partis s’installer à Limerick, une petite ville irlandaise où elle resta avocate. Son époux faisait souvent des déplacements vers la France pour gérer l’entreprise familiale. Et un beau jour, la grande nouvelle tomba: Birgit était enceinte. Christian était fou de joie à l’idée de devenir papa et ils gardèrent la surprise du sexe du bébé jusqu’à la naissance. C’est ainsi qu’à peu près huit mois plus tard, une petite fille naissait. C’était moi, Moira Chaumet. J’ai grandi en Irlande, choyée par mes parents qui ne cédaient devant aucun de mes caprices mais avec quand même le plus important: leur amour. Mais quelques temps après ma naissance, l’entente entre mes parents commença à se dégrader. Je n’ai gardé que peu de souvenir de cette époque mais je me souviens d’un père souvent absent pour affaires et d’une mère qui pleurait souvent à côté du téléphone, attendant un appel qui ne venait jamais. Si bien qu’un beau jour, ma mère demanda le divorce. Mon père ne s’y opposa pas, ayant compris que rien ne pourrait retenir son épouse. J’avais cinq ans quand le divorce fut prononcé et ma garde fut confiée à ma mère. Mon père ne s’y était pas opposé et il renonça même à son droit de visite, pour mon bien soit disant. Mais en même temps, vu où ma mère avait décidé de déménager, il aurait eu du mal à venir me voir tous les week-ends. Cependant, il garda le droit à la moitié des vacances scolaires.

   
Free Nelson Mandela
Deux semaines après le divorce, ma mère partit s’installer en Afrique du Sud. Elle avait obtenu un poste d’avocate au sein de la célèbre réserve Kruger, une chance pour nous disait-elle. Je découvris ce qu’était la vie au sein d’une réserve africaine, à côtoyer des zèbres, des éléphants et même des fauves. A six ans, j’eus la chance d’avoir un bébé guépard comme animal de compagnie, le pauvre ayant été rejeté par sa mère. Bien que ce fût ma mère, avec l’aide du vétérinaire, qui lui donnait le biberon, nous jouions souvent ensemble lui et moi et je l’avais appelé Miracle. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Un soir, le vétérinaire de la réserve fut tué par des braconniers alors qu’il surveillait un rhinocéros. Un nouveau vétérinaire fut nommé mais la réserve était encore sous le choc de la mort de l’autre et le nouveau n’eut pas la chance de bénéficier d’un accueil chaleureux. Il ne parut pas s’en formaliser et agit comme si de rien n’était tout en respectant la peine des employés. Nolan Almor était canadien et il s’intéressa tout de suite à Miracle et à moi-même. Il avait dû laisser sa jeune sœur au Canada et je lui faisais parfois penser à elle, à cause de ma maturité malgré mon jeune âge. Ce fut mon premier véritable ami à la réserve. Il se lia également avec ma mère et une chose en entrainant une autre, ils se mirent ensemble. Si j’avais toujours pensé que ma mère était amoureuse de mon père, je compris qu’elle l’était encore plus de Nolan. Même si je n’avais que huit ans, j’étais contente pour elle, elle retrouvait le bonheur, le vrai cette fois-ci. Ils se marièrent un an plus tard, au sein de la réserve. Le mariage fut magnifique, de quoi faire rêver la petite fille que j’étais. Même si Nolan n’était pas réellement mon père, je me surpris à l’appeler rapidement papa, même si je voyais toujours mon père au mois de Juillet, quand il m’emmenait en vacances. Mais je ne l’appelais plus que Christian et il ne semblait pas s’en formaliser. Il m’emmenait souvent en voyage dans des pays que je rêvais: Italie, Norvège, Egypte… Mais pour moi, rien ne valait l’Afrique du Sud et la réserve. Je fus cependant moins ravie quand un soir, ma mère m’annonça que j’allais devenir grande sœur. J’avais dix ans et je me plaisais bien dans ma vie d’enfant unique. Mais ma mère était enceinte et je ne pouvais rien y faire. Et six mois plus tard, Phil et Juliette naissaient dans l’infirmerie de la réserve. Ils furent transportés d’urgence à Johannesburg car ils étaient prématurés et je ne pus les voir que trois mois après leur naissance. Ils étaient tellement petits mais déjà si attachants que je me surpris à ressentir un attachement un important pour eux dès les premiers instants. La vie s’annonçait joyeuse maintenant, je le savais.

   
Let it go
Malheureusement, je dus quitter l’Afrique du Sud à l’âge de onze ans. Nolan avait été muté au Canada où il prenait la direction d’un service vétérinaire dans un zoo, celui d’Heatherfield. La séparation avec Miracle fut difficile, très douloureuse mais je ne pouvais pas me permettre de l’emmener avec moi. Il s’agissait quand même d’un guépard et il n’avait pas sa place dans une maison au Canada. Je fis promettre à la voisine de me donner des nouvelles fréquentes de mon amie et j’en eus toujours, jamais elle ne trahit sa promesse. Arrivée à Heatherfield j’eus énormément de mal à me faire au climat du Canada. La chaleur de l’Afrique du Sud me manquait tellement. Je découvris cependant la neige et son toucher, une agréable découverte bien que découverte glaciale. A l’école, j’eus énormément de mal à me faire des amis, à cause de mon accent étrange. Il y eut cependant un garçon de mon âge que cela n’eut pas l’air de déranger. Il s’appelait Miguel Alboran et on devint rapidement ami. On jouait souvent ensemble à la récré et je l’invitais quelques rares fois à la maison, bien que ces parents n’aient jamais réellement eu l’air d’apprécier notre amitié. Je me suis toujours demandé pourquoi d’ailleurs. Mais j’ignorais encore jusqu’où ils étaient prêts à aller pour protéger leurs enfants. Miguel m’avait souvent parlé de son grand frère Enzo mais je ne l’avais encore jamais rencontré. Je l’imaginais comme son frère me le décrivait et autant être honnête, le tableau dressé était loin d’être aussi flatteur que ce que l’on pourrait penser. Miguel me racontait qu’Enzo était méchant, que leurs parents l’aimaient plus que lui et que c’était l’explication de cette méchanceté. Je ne pouvais que le croire, pourquoi aurais-je mis sa parole en doute? J’étais loin de me douter que ce n’était que les mensonges d’un garçon qui souffrait de la compétition entre son grand frère et lui.

   
Let me love you
J’avais douze ans quand je fis la rencontre du grand frère de Miguel. Un soir alors que nous étions tous les cinq à table, on entendit toquer à la porte de la maison. Ce fut mon beau-père qui alla ouvrir et il m’appela rapidement. Un jeune homme de seize ans se tenait devant moi, des copies à la main. Il se présenta comme Enzo Alboran, le grand frère de mon camarade Miguel et me demanda si cela me dérangeait de rendre le devoir de son petit frère, qui serait absent le lendemain matin. Cela ne m’avait jamais dérangé de rendre service à quelqu’un, d’autant qu’il s’agissait de Miguel, un ami. Pendant toute la soirée, je fus absente, repensant à Enzo. Il n’avait rien à voir avec le tableau que mon ami avait pu en faire et j’étais complètement étonnée. Le lendemain, je rendis le devoir de Miguel ainsi que le mien mais je n’arrêtais pas de penser à Enzo, il m’avait complètement ensorcelée. Je fus un peu plus souvent invitée chez les Alboran et j’y allais de plus en plus facilement, sachant que je verrais mon ami Miguel mais que j’aurais aussi peut-être la chance de croiser Enzo. Pendant quatre ans, la vie continua à ce rythme, simplement perturbé par les aléas de la vie quotidienne. A quinze ans, je fus opérée de l’appendicite. A mon réveil, j’eus la visite de ma famille mais également celle de Miguel et de son frère Enzo. Depuis peu, je m’étais rendu compte que j’étais tombée amoureuse du grand frère de mon ami et cela n’avait également pas échappé à Miguel, qui s’amusait beaucoup à m’embêter avec cela, disant que jamais son frère ne s’intéresserait à moi, qu’il était trop égoïste pour s’en rendre compte. Mais je n’arrivais pas à le croire, je ne voyais pas Enzo comme quelqu’un d’égoïste. Par contre, cela ne m’aurait guère étonnée qu’il ne m’aime pas. Après tout, j’étais une amie à son petit frère, on avait quatre ans d’écart, je pensais sincèrement n’avoir aucune chance. Je dois dire que la vie m’a prouvé le contraire. Un an plus tard, j’avais dû faire un crochet du côté de la maison des Alboran pour donner les exercices à Miguel, encore une fois malade. Je le soupçonnais surtout de faire semblant d’être malade pour ne pas aller à l’école mais soit. Enzo se proposa gentiment de me raccompagner avec sa voiture, il venait d’avoir le permis. Il conduisit très prudemment et on arriva rapidement devant la maison de ma famille, trop rapidement à mon goût. Alors que nous discutions tranquillement devant la maison, un orage éclata au-dessus de nos têtes, nous trempant en quelques instants. On partit se réfugier sous le porche tout en riant devant les éléments qui se déchainaient. Alors que je me surpris à faire silence tout en regardant le jeune homme en face de moi, il s’approcha un peu plus et vint déposer ses lèvres sur les miennes. Je fus un bref instant complètement surprise, n’arrivant pas à croire qu’il puisse m’embrasser. Mais passé cet état, je lui rendis son baiser, indifférente aux jumeaux qui regardaient par la fenêtre en riant. Nos lèvres se séparèrent et Enzo repartit presque immédiatement, me laissant complètement dans l’attente. Je rentrais dans la maison avant de m’appuyer contre la porte, ayant encore du mal à y croire. Je fis quelques pas avant que les jumeaux ne viennent m’encercler, tournant autour de moi en disant que j’avais un amoureux. Ils n’avaient que six ans à l’époque et je leur pardonne encore aujourd’hui. Ma mère arriva rapidement et me demanda ce qui m’arrivait, quel pouvait bien être la raison de ce large sourire sur mon visage. La prenant à part, je lui expliquais ce qu’il venait de se passer entre Enzo et moi et elle fut heureuse pour moi. Elle n’avait jamais cessé de me dire qu’Enzo était un brave garçon et elle était heureuse pour moi. Deux jours plus tard, je reçus la visite du jeune homme en question et ce fut le début de notre histoire commune.

   
Tout s'efface
Notre histoire a duré quatre ans, quatre belles années à vivre au jour le jour. Cela faisait deux ans que j’avais commencé mes études pour devenir médecin et j’arrivais facilement à jongler entre mes cours, ma famille et Enzo. Ce dernier m’aidait bien, ne m’en voulant pas quand je devais refuser de sortir parce que j’avais des cours à réviser en vue d’un partiel ou parce que ma mère me réclamait près d’elle. Mais je sentais qu’il était temps d’avancer dans ma vie et dans ma relation avec Enzo. Un soir, alors que nous étions seuls chez mes parents, je sautais le pas. Je voulais profiter que mon beau-père ait emmené ma mère et les jumeaux au restaurant pour demander à mon petit ami si cela lui plairait que l’on vive ensemble. J’avais trouvé un beau petit appartement à Midtown, un autre quartier d’Heatherfield et je ne aurais très bien vu vivre dedans. Il n’eut pas à réfléchir bien longtemps pour me dire oui et l’on fêta cette grande nouvelle à notre façon. Le lendemain, j’annonçais à ma famille que j’allais quitter la maison, que j’allais partir m’installer avec Enzo. Tout le monde fut ravi pour moi et cela donna lieu à une nouvelle sortie restaurant. Avec Enzo, on visita plusieurs fois l’appartement avant d’envisager de monter un dossier de demande de location. Mais deux semaines après, ma vie prit un tournant que je n’avais pas vu venir. Alors que je revenais de l’agence immobilière où j’avais finalement été récupéré un dossier, Enzo m’annonça qu’il ne vivrait pas avec moi. Pire encore, il me quittait. Je ne compris pas ce brusque revirement de situation et je n’eus pas le temps de demander la raison qu’il était déjà parti. Mon cœur était brisé, plus encore que si quelqu’un d’autre m’avait blessé. Parce que là, c’était Enzo qui me faisait mal, l’homme que j’aimais et que je devrais désormais appeler mon ex. Cette idée me fit encore plus mal. Je ne voulais pas qu’Enzo soit mon ex. Je ne dormis pas de la nuit, ne mangeant pas le soir. Je refusais de sortir de ma chambre, inquiétant terriblement mon beau-père et ma mère. Le lendemain, ils m’annoncèrent qu’Enzo avait été hospitalisé. Terriblement inquiète, je me précipitais à l’hôpital, espérant peut-être que le jeune homme avait réfléchi, qu’il ne voulait pas réellement me quitter. Mais quand je lui demandais la raison de cette rupture, il m’annonça qu’il ne m’aimait plus et que de toute façon, nous n’étions pas du même monde. Plus que de la tristesse, ce fut de la colère qui m’étreignit le cœur. Je partis me réfugier dans les bras de Miguel, mon ami de toujours. Il était peiné pour moi mais il avait toujours su que notre histoire se terminerait de cette façon, qu’Enzo n’était pas réellement capable d’aimer une femme. Ce soir-là, je couchais avec Miguel. Ce n’était pas calculé mais je me rendis bien compte qu’Enzo n’était pas ravi de cette idée. Je continuais à fréquenter le frère de mon ex, laissant croire à ce dernier que je sortais réellement avec son frère. Je voulais rendre Enzo jaloux, lui faire mal comme lui avait pu me faire mal. Je voulais me venger de la douleur qu’il m’avait fait endurer. Mais les choses ne se passèrent pas réellement comme prévu…

   
Je suis deux
Deux mois après ma rupture avec Enzo, j’étais terriblement malade. Mal au ventre, nausées et vomissements étaient mon quotidien. Comme j’étais jeune étudiante en médecine, je sombrais peu à peu dans la paranoïa. Je me voyais déjà grandement malade, à l’article de la mort. Je dus aller passer une visite médicale ainsi qu’une visite gynécologique pour être certaine que ce n’était rien. Si le médecin ne remarqua rien de bien grave à part une petite baisse d’appétit, ce fut le rendez-vous gynécologique qui changea ma vie. Alors qu’elle m’auscultait, elle me demanda à combien de semaine j’étais. Elle remarqua bien ma surprise et elle me demanda si je savais que j’étais enceinte. Je tombais de haut, n’arrivant pas à comprendre ce qui était pourtant très clair. Elle me fit gentiment passer une échographie et je découvris mon bébé. D’après elle, j’étais enceinte d’environ deux mois et je fis mes petits calculs. J’aurais aimé que cet enfant soit celui d’Enzo mais je devais me rendre compte que cela ne collait pas avec la datation… J’étais enceinte de Miguel… Enfin, ça, c’était dans l’idée que la gynécologue ne se soit pas trompée dans son estimation, à deux semaines près, rien n’était certain. Mais pour mon équilibre psychologique, je me persuadais que mon enfant était celui de Miguel. Je ne voulais pas porter l’enfant d’Enzo, pas alors qu’il avait agi comme un salaud avec moi, me quittant parce que nous n’étions pas du même monde. Miguel était mon ami, j’étais persuadé qu’il allait m’aider… Je rentrais chez moi, encore sous le choc. Seul mon beau-père était déjà présent à la maison et il remarqua tout de suite ma petite mine. Quand il me demanda ce qui m’arrivait, je ne pus que fondre en larmes dans ses bras, lui annonçant que j’étais enceinte. J’étais perdu, je ne savais pas quoi faire et j’espérais que lui pourrait m’aider. Il fut choqué de cette annonce mais sa réponse me fit chaud au cœur. Il m’avait toujours considéré comme sa fille et il ajouta que quoi que je fasse, lui et ma mère serait toujours là pour me soutenir. Ma mère rentra et je la mis au courant. Sa première réaction fut de s’inquiéter pour mes études mais j’avais déjà appelé l’école de médecine et je m’étais arrangé avec eux. Ma mère fut terriblement triste d’apprendre que je ne portais pas l’enfant d’Enzo mais elle fut d’accord avec moi, Miguel saurait m’aider. Mais pour cela, il allait falloir que j’annonce la nouvelle au futur papa.

   
Everything's wrong
Le lendemain de la découverte de ma grossesse, ce fut pleine de force, de courage mais aussi d’espoir que je me rendis chez les Alboran. Miguel m’avait prévenu que ses parents seraient absents mais il ne m’avait absolument pas prévenu que son frère Enzo serait présent. Je demandais à parler en tête à tête avec Miguel mais mon ex s’y opposa formellement, demande de ses parents. Je ne m’éais jamais rendu compte à quel point Enzo faisait toujours tout pour être apprécié de ses parents, s’en était ridicule. Il était donc présent quand j’annonçais à Miguel que j’étais enceinte de lui. La réaction ne se fit pas attendre. Miguel refusa tout net de reconnaître mon enfant, n’écoutant pas ce que j’avais à lui dire. Je me décomposais petit à petit, ne retrouvant pas le jeune homme qui était mon ami dans l’étranger froid et limite insultant qu’il y avait en face de moi. Mais la réaction d’Enzo fut encore plus virulente. Il me mit à la porte sans autre forme de procès en me demandant de ne jamais remettre les pieds chez eux. J’étais anéanti. J’allais devoir élever mon enfant seule, sans la présence de son père. Mortifiée, je rentrais chez moi et dû annoncer la nouvelle à mes parents. Ils furent terriblement peinés pour moi mais leur réaction fut toute à leur honneur. Ils déclarèrent que l’enfant à venir n’avait aucunement besoin d’un tel père dans sa vie et qu’il était bien mieux pour lui de ne jamais être en contact avec Miguel ou la famille Alboran. Alors que j’étais seule dans l’après-midi, on toqua à la porte et je fus très étonnée de voir apparaître Mr Alboran père devant moi. Je pensais qu’il était venu s’excuser de la conduite de ses fils mais la cause de sa venue était tout autre. Il me poussa assez violemment pour entrer dans la maison et me parla comme si j’étais inférieur à lui. Dans ses mots, j’avais l’impression d’être une trainée qui c’était faite engrossée par le petit dernier à défaut d’avoir eu l’ainé dans mes filets. Il jeta alors un petit sac de sport sur la table et exigea que j’avorte. Il me donnait de l’argent pour quitter la ville et ne jamais y remettre les pieds. J’acceptais l’argent en ajoutant qu’ils n’entendraient plus jamais parler de moi et l’homme quitta la maison. Le soir même, j’avais quitté Heatherfield, pensant pour toujours.

   
La marche en avant
Je mis deux jours à rejoindre ma tante Susanna à Kayenta. Cette femme, c’était la grande sœur de mon père Christian et je ne la connaissais que peu, ne l’ayant pas revu depuis le divorce de mes parents. Mais elle n’avait pas hésité à me prendre sous son aile quand mon père l’avait appelé au secours. Ma mère avait appelé son ex-mari quand elle avait appris comment les Alboran avaient réagi et il avait tout de suite été d’accord avec elle: je devais quitter Heatherfield si je voulais garder mon enfant. Il avait donc appelé sa sœur Susanna en urgence et j’avais réussi à trouver une place dans un avion à la dernière minute, me servant de l’argent donné par les Alboran. Après tout, même si j’avais décidé de ne pas avorter, ils m’avaient demandé de partir et c’était ce que je faisais. Arrivée à Kayenta, je mis quelques instants pour me détendre, encore sous le coup de la colère, de la peur que j’avais ressenti quand Mr Alboran était venu me demander d’avorter. Ma tante fut comme une deuxième mère pour moi, elle m’accompagna à tous mes rendez-vous prénataux et gynécologiques. Même si j’appelais ma mère tous les soirs, j’avais besoin d’une présence. Je fis également la rencontre de mes cousins et de mon oncle. Ils furent tous comme une deuxième famille pour moi, le soutient dont j’avais besoin au quotidien pour mener à bien ma grossesse et mes études. Je repris mes cours de médecine par correspondance grâce à l’école de médecine d’Heatherfield qui m’envoyaient gentiment les cours par mail. Mais à sept mois de grossesse, je dus stopper ma scolarité, mon enfant me demandant trop d’énergie. Je savais depuis le cinquième mois que j’attendais un petit garçon et j’avais décidé de l’appeler Allen même si personne n’était encore au courant. J’étais la seule à savoir le sexe de mon enfant mais ma tante fut rapidement dans la confidence quand elle m’accompagna acheter les premiers vêtements de mon fils. Les deux mois me séparant de mon accouchement me parurent durer une éternité. Je passais mes journées allongé dans la véranda de la maison de ma tante, sur une chaise longue. Je n’avais le droit de ne rien faire car ma tante avait peur que je déclenche mon accouchement prématurément et je l’écoutais. Après tout, elle aussi était médecin et elle avait toujours eu de précieux conseils pour moi. Mais il fallait bien que le jour de l’accouchement arrive.

   
Je serais là
Jamais je n’oublierais la naissance de mon fils. Il était environ huit heures du matin et je commençais doucement à me réveiller. J’avais un peu mal au ventre mais je savais que c’était normal à presque deux semaines de la date du terme. J’étais débordante d’énergie ce qui annonçait l’accouchement pour bientôt d’après ma tante. Alors que j’étais occupée à prendre mon petit déjeuner, une contraction plus violente que les autres me coupa la respiration et mon bol de céréales tomba au sol, se brisant. Ma tante fut alertée par le bruit et se précipita dans la cuisine. Elle comprit rapidement que j’allais accoucher quand elle remarqua un liquide clair couler le long de mes jambes. Elle m’emmena en urgence à la maternité même si elle savait que bébé ne serait pas là avant plusieurs heures. Arrivées toutes deux à la clinique, je fus rapidement prise en charge par une sage-femme qui m’ausculta et me fit patienter quelques heures dans une petite chambre que le travail avance avant de me conduire en salle de travail. Les heures passèrent où ma tante essayait de me détendre car j’étais terriblement stressée. J’aurais aimé que ma mère soit présente pour rencontrer son petit-fils mais même si ma tante l’avait appelé, elle ne serait pas là avant le lendemain matin minimum. Il était environ vingt-trois heures quand le travail fut suffisamment avancé pour que je puisse aller en salle de travail. Je savais qu’un premier accouchement pouvait prendre plus de douze heures mais je commençais à trouver le temps long et à m’inquiéter pour mon fils. La sage-femme me rassurait comme elle le pouvait en me disant que grâce au monitoring, elle savait que mon enfant allait bien. Manque de chance pour moi, le travail s’accéléra d’un coup et je ne pus bénéficier de la péridural. La douleur de l’accouchement fut plus grande que celle à laquelle je m’étais imaginée mais je gardais les dents serrées, poussant en silence. Seul signe de ma douleur, mes mains étaient crispées, blanches, autour des barrières du lit. J’avais perdu le fil des minutes et j’ignore combien de temps se passa entre le moment où je commençais à pousser et le moment où mon fils vit le jour. Mais il devait y avoir un problème car il ne cria pas comme on le voyait souvent dans les films. J’étais terriblement inquiète, je voulais voir mon fils mais la sage-femme le confia au pédiatre et il emmena mon fils pendant qu’elle terminait de s’occuper de moi. Je ne quittais pas la porte des yeux espérant revoir mon fils rapidement mais les minutes passèrent sans que personne ne rentre. J’imaginais déjà le pire, que mon fils était mort mais finalement, le pédiatre revint avec un petit bout de chou tout gesticulant dans les bras. La sage-femme récupéra mon fils pour me le poser entre les bras. Il était un peu plus de minuit et j’étais devenue maman. Je ne quittais pas Allen du regard, un large sourire aux lèvres. Etrangement, même si j’étais persuadé que c’était Miguel le père de mon fils, je lui trouvais plus de point commun avec Enzo, mon ex petit ami. A croire que mon subconscient avait déjà compris ce que je refusais de m’avouer. Ma mère eut le droit de venir me voir vers quatorze heures et elle tomba en admiration devant son petit-fils et prit plein de photos. Je cru que je lui avais offert la lune quand j’acceptais qu’elle prenne Allen dans ses bras. L’avenir s’annonçait radieux pour nous deux désormais.

   
La vie passe
Deux mois après la naissance d’Allen, je pus reprendre mes cours de médecine. Je fis mon internat dans la clinique où j’avais accouché et je devins rapidement un très bon médecin. Je fis une spécialisation pour devenir urgentiste, partant facilement sur les accidents de la route et autres problèmes comme les crises cardiaques. Mais je travaillais également à l’hôpital, continuant à m’occuper des patients dont j’avais la charge avant qu’un médecin ne vienne prendre la relève. Allen grandissait tranquillement, choyé par sa tante et par ses grands-parents. Je revis mon père Christian plus souvent maintenant qu’il avait un petit-fils et je fus contente d’avoir plus de contact avec lui. Mon fils se découvrit rapidement une passion pour la boxe, me faisan encore plus douter de la paternité de Miguel. Mais il était trop tard pour faire machine arrière, les Alboran pensaient que j’avais avorté et il n’était pas question que je retourne à Heatherfield pour demander un test de paternité à Miguel et Enzo. Les parents seraient certainement capables de me faire disparaitre si j’osais me présenter en ville. Mais Allen me demandait souvent où était son père, me brisant le cœur se faisant. Ma tante me disait souvent de lui dire la vérité, de lui parler de son père mais comment lui dire que je ne savais pas qui il était? Que j’avais couché avec deux frères à deux semaines d’intervalles pour faire payer l’un des deux… Je ne voulais pas que mon enfant ait une telle image de moi. En grandissant, ces questions se firent de plus en plus fréquentes. Et il y a trois mois, j’appris la mort de mon père Christian. Après la douleur passée, je pris que les quelques économies que j’avais pour assister à son enterrement et à l’ouverture de son testament, en France. Je rencontrais l’avocat de mon père qui m’annonça alors que mon père me léguait tout ce qu’il avait. Devant mon incompréhension sur ce que cela représentait, il me fit la lecture du testament. Mon père me léguait sa fortune ainsi que ses parts dans l’entreprise familiale. Je devenais la riche propriétaire des bijouteries Chaumet grâce à lui. Je ne pus m’empêcher d’avoir un rictus en repensant soudain aux dernières paroles d’Enzo: "Nous ne sommes pas du même monde". Cela n’avait jamais été le cas, j’avais toujours pratiquement été aussi riche que lui, peut-être même plus. Juste qu’il ne l’avait jamais su… Retournant à Kayenta, je pris une grande décision, dangereuse certes. Mais mon fils voulait savoir qui était son père et j’allais exaucer son souhait. Même si j’ignorais qui était son père, j’allais exiger d’Enzo et de Miguel un test ADN. Je voulais savoir, aussi bien pour Allen que pour moi.

   
Case départ
Voilà désormais deux jours que je suis revenue à Heatherfield. J’ai réussi à trouver un poste de médecin urgentiste dans l’hôpital de la ville et j’habite désormais à Riverwylde avec mon fils et nos deux chiens, Ratatouille et Cassoulet… Cela faisait deux mois qu’ils étaient avec nous et je m’étais formellement opposé à l’idée de les laisser à Kayenta le temps de notre petit séjour à Heatherfield. Car pour moi, cette situation n’est que temporaire, le temps d’avoir les réponses à mes questions concernant la paternité d’un des frères Alboran. Une fois que je saurais, je retournerais à Kayenta, c’était là-bas qu’était ma vie désormais. Les Alboran n’avaient aucun droit sur mon fils. Son père avait tout perdu quand il m’avait rejeté et les grands-parents quand ils avaient exigé que j’avorte. Allen saurait qui est son père mais je refusais que ce dernier ne prenne sa place dans la vie de mon fils, il ne le méritait pas. C’était peut-être égoïste mais voilà sept ans que je vis seule avec Allen et je m’en sortais plutôt bien. Ma mère m’aida à trouver une belle petite maison avant notre arrivée et la maison était déjà meublée quand Allen et moi nous y installions. Même si ce n’était qu’un bref séjour, j’étais contente de revoir Heatherfield, de retrouver d’anciennes connaissances et de revoir ma famille. Les jumeaux avaient tellement grandis et ils adorèrent Allen dès le premier regard, à l’aéroport. L’avenir qui s’offre à moi est désormais bien incertain mais je sais que je peux compter sur ma famille pour m’aider, me conseiller et me soutenir.
   

   

   
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Lou Vizconde
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Félicitation Moïra



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Tu peux dès à présent découvrir les merveilles que renferme le forum ainsi que sympathiser et délirer avec les autres membres si ce n'est pas déjà fait ! Cependant afin de ne pas te lâcher complètement dans la nature, voici quelques liens qui te permettront de t'y retrouver ! Tout d'abord si tu ne l'as pas encore fait, je te conseille d'aller jeter un petit coup d'oeil au règlement, c'est toujours bien de savoir à quoi on a à faire ! Ensuite nous pensons que tu ne vas pas vivre sous les ponts, donc files faire une demande de logement et après va recenser ton métier. C'est toujours bien de savoir où notre personnage va travailler ! N'oublie pas aussi de recenser ton statut et surtout de nous avertir si tu attends un heureux événement... Puis, il faut aussi que tu répertories ton personnage c'est important !

Mais bon je suis sûre que tu es surtout impatient(e) de créer ta fiche de liens pour te faire des amis ! D'ailleurs il se peut que tu ais besoin de personnes particulière, comme ta moitié ou ta grande tante qui fume comme un pompier ? Il faut les créer dans la catégorie en construction. N'oublies pas de recenser ton scénario, car si tu ne le fais pas, les personnes non inscrits ne pourront pas le voir. Si tu n'as pas forcément besoin de créer un scénario, mais il faut absolument que ton patron pervers ou que la belle-soeur de ton meilleur ami débarque, c'est un lien prédéfini qu'il faut que tu crées. Si au contraires, tu veux créés ta famille, je t'invite à remplir ce formulaire. Dans tous les cas, j'espère qu'ils seront pris bientôt Moira + I will always love you 1216938665 ! Après si l'envie de RP est présente, mais que tu ne sais pas avec qui en faire tu peux aller rechercher un partenaire ! Ensuite, quand tu auras des rps par milliers, pour ne pas les oublier, tu pourras les mettre dans ton profil. Sinon tu peux les poster dans les Topics. Que te dire d'autre ? Je te recommande vivement le flood où l'on s'amuse comme des petits fous & de passer sur la ChatBox pour rigoler un petit peu ! Sinon pour toutes tes demandes, de lieux, de rang, changement de personnage ou autre, c'est dans les extras qui faut se rendre. Surtout, n'ais pas peur de faire le petit curieux et va voir un peu partout dans le forum.
Puis vu que nous sommes gentils, nous te mettons 500$ sur ton compte en banque !

Et une dernière chose, amuses-toi bien avec nous Moira + I will always love you 2495842264


Lou Vizconde
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Lun 4 Sep - 16:44
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