Adam Maxwell

Nom. Maxwell Prénom. Adam. Mon second prénom est sylvain, un cousin français du côté de ma mère dont elle était assez proche petite. À ce qu'il paraît... Surnom Mon grand frère aimait bien m'appeler morveux quand j'étais plus jeune. Mais ça s'était avant que je lui mette la raclée en course à pied. Âge. 20 ans Date de naissance. 06 février 1997 Lieu de naissance. Heatherfield Origines. Européennes. Un père anglais et une mère française mais je suis né en nouvelle écosse et je me sens 100% canadien. Je ne connais pas grand chose du "vieux continent" si ce n'est les vieilles photos de famille... Quartier. J'habite dans un appartement au centre ville que je partage avec des amis. On est pas mal situé et on limite les frais comme ça. Date d'arrivé. Depuis toujours!

Caractéristique Déterminante. Mes yeux sont assez claires, le plus souvent bleus et virant au vert selon la lumière. Ils ressortent d'autant plus avec mes cheveux bruns. Visage. Cody Christian

Orientation Sexuel. Hétérosexuel Statut Civil. célibataire Ancien Partenaire. Aucune de mes relations n'a été importante à mes yeux. J'attends encore celle qui me fera connaître ce sentiment d'amour dont tout le monde parle... Bon courage à elle.

Occupation. Étudiant en droit Lieu de Travail. Faculté de droit Anciens Jobs.  Des petits boulots en même temps que mes études pour payer ma part de la colocation et subvenir à mes besoins. Objectif de carrière. J'hésite encore à me poser en tant que notaire à Heatherfield ou me spécialiser pour devenir avocat d'une grosse entreprise. L'argent ou la tranquillité...

Parents. Mélanie Benoit et Henry Maxwell. On ne peut pas dire que j'entretenais une bonne relation avec mes parents. Ma mère addicte aux jeux, ses enfants n'étaient pas sa priorité. Mon père n'était pas souvent là puisqu'il se tuait au travail pour nous faire vivre... Je parle au passé oui. Quand je dis qu'il se tuait au travail ce n'est pas qu'une métaphore... Mon père est décédé d'une crise cardiaque. Ma mère quand à elle nous a complètement oublié, emportée par la maladie d'Alzheimer. Mais finalement est-ce vraiment différent d'avant? Frères et Soeurs : Gregory et Swann. Heureusement j'ai ces deux là. Mon grand frère, mon meilleur ami et ma soeur, le modèle féminin qui a remplacé ma mère. Nos relations sont aujourd'hui tendues, mais pour combien de temps? Enfants : Des enfants? Il faudrait déjà que je leur trouve une mère... Animaux de compagnie. On a un chat à la coloc. Il a été abandonné là quand l'ancien locataire est parti. C'est moi qui m'en occupe le plus. On lui a donné comme petit nom Gotham.

Bon ok, pas de sous-titre. Je ne sais pas si quelqu'un lira un jour ce torchon, mais je me tente en tant qu'auteur. J'ai toujours aimé écrire, j'ai griffonné quelques essais et nouvelles. Ça m'a pas mal servi pour les études. Et puis un jour peut-être je me lancerai sur un roman que je proposerais à des maisons d'éditions. Et qui le refuseront. Mais aujourd'hui je vais écrire à mon sujet. Je suis loin de croire que ma vie est palpitante au point d'en faire un best seller. Mais après avoir bien arrosé fêté ma vingtième année, je me dis qu'il est temps pour moi de faire un point.

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C'est après beaucoup de souffrance et dans les cris que ma mère me mit au monde le 6 février 1997 à la maternité de Heatherfield, Nouvelle Écosse, Canada. C'était la première et pas loin de la dernière fois qu'elle me portait de l'attention. C'est vrai après tout, étant le petit dernier on est en droit d'espérer un statut privilégié auprès de ses parents. Mais encore faut-il en avoir... des parents... Même si à cet instant précis je ne me rendais compte de rien, je comprendrais bien plus tard qu'il ne suffit pas de mettre au monde un enfant pour s'en proclamer "maman". Il existe le terme géniteur pour ça.
Heureusement Chez les Maxwell il y avait aussi d'autres enfants. Un petit garçon chétif et mal coiffé que mon père pointait du doigt en disant "ton frère" et une petite fille blonde au large sourire que mon père appelait "ta soeur". Gregory et Swann. À part ces informations capitales, pendant mes cinq premières années, je n'ai rien de mieux à vous décrire que des journées faites de coloriages et de livres en tissu. Comment ça vous n'êtes pas intéressés?

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Je devais avoir huit ou neuf ans le jour du vol. J'avais pris le portefeuille de mes parents, avec beaucoup d'adresse et de discrétion pour ne pas me faire repérer (et j'étais plutôt fier de moi). J'en avais sorti quelques billets. Je serais incapable de me rappeler la somme exacte, quelque chose comme cinquante dollars. Ce dont je me rappelle parfaitement en revanche c'est l'incroyable scène lorsque mon crime a été découvert. Je ne savais pas ce que j'allais faire de cet argent. Sûrement pas grand chose. J'avais juste défié mes parents c'était ça qui m'avait plus. Quand ma mère s'est emparée du portefeuille, vide, elle s'en est d'abord prise à mon père. Lui demandant, dans un premier temps calmement, de lui rendre l'argent. Devant le refus de son mari, de toute évidence au courant de rien, le ton est très vite monté. Et puis après une enquête en bonne et due forme le coupable (moi) a été trouvé. Je me souviendrais toujours de l'air hystérique de ma mère, ses babines retroussées, ses poings serrés et ses yeux gonflés par la colère. Cette façon dont elle a repris les billets comme si sa vie en dépendait. J'ai compris à ce moment là, face à la violente réaction de ma mère, que c'était mal de voler. Pourtant je sais maintenant qu'elle se fichait bien que je transgresse certaines règles. Cet argent elle en avait besoin. Comme une camée en manque. Cet argent lui était nécessaire pour assouvir ses pulsions au jeu...
Peu importe. À cet âge je ne prenais pas vraiment conscience de la défaillance dont faisaient preuve mes parents. À cet âge je me contentais d'admirer mon frère qui devenait un adulte. Et de taquiner ma soeur en plein adolescence. J'avais dix ans, et tout me paraissait assez simple. Même si dans les faits, rien ne l'était.

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L'adolescence paraît-il que ce n'est jamais une période facile. On se cherche et on en fait baver à notre entourage. Je crois pour ma part que je trouvais des réponses à bien des sujets et que mon entourage (mes parents en fait) ne faisait que récolter ce qu'il avait semé. Ma mère était inexistante et toujours dépendante. Mon père bossait. C'est bien. Mais mon père n'agissait pas, il se laissait porter par les événements, passif. À partir de là ma conclusion fut que je leur accorderai autant d'importance qu'ils n'en donnaient à leurs enfants. C'est à dire pas grand chose. Ma chance c'était que j'avais quelques facilités en cours. Je sortais du lot grâce à un bon niveau et je trouvais ici la reconnaissance qu'il me manquait par ailleurs. Alors je me suis investi dans le travail scolaire. Toujours proche de mon frère qui était à mon sens l'homme de la maison, n'en déplaise à mon père, et de ma soeur qui faisait en sorte d'être là pour tout le monde...

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Et voilà. Quinze années passées et finalement pas grand chose à raconter. Une vie somme toute quelconque avec des parents spéciaux. Mais les cinq années qui suivirent furent sans conteste les plus rudes. Par quel bout commencer? Entre quinze et vingt ans, on se construit, on passe d'adolescent à homme via tout un tas d'étapes pas toujours agréables.

Mes amis autour de moi commençaient gentiment à se mettre en couple, sérieusement. Moi j'enchainais les histoires sans trop de sens. J'ai ma petite théorie à ce sujet... C'est peut-être surement de la psychologie de comptoir mais je crois que ma mère n'est pas étrangère à mes relations amoureuses superficielles. Après tout elle était censée être mon modèle féminin. Quelle modèle! Il ne faut sans doute pas chercher plus loin pour savoir pourquoi je n'accorde aucune confiance à la gente féminine.

Les études en revanche me comblaient. Tout se déroulait comme je l'entendais et à la fin du lycée je décidais de faire du droit. Apprendre C'était le seul domaine où je me sentais tout contrôler et réussir. Cela aurait été parfait s'il n'y avait pas ce problème d'argent. Une chape de plomb à porter, obligeant mon frère à travailler deux fois plus dur pour payer la faculté. Puis ma soeur. Et pour moi le poids de la culpabilité... Mais un jour ou l'autre, je renverrai l'ascenseur.

La fratrie justement. Nous étions là les uns pour les autres. Oui, jusqu'au jour où... Il y a environ 3 ans, la maladie d'alzheimer a été diagnostiqué à ma mère, nécessitant de la placer dans un centre spécialisé. Coûtant une fortune, bien évidement. Je crois que ce fut le coup de grâce pour Greg qui décida de tout lâcher. Et de partir. Je ne suis pas sur de savoir réellement ce que j'en pense encore maintenant... Mais j'ai vu ma soeur se sacrifier, rentrer très tard le soir après son travail, ou très tôt le matin, comme on veut. Et faire des choses à mon avis n'allant pas toujours dans le sens de la morale. Elle aidait financièrement et donnait beaucoup de son temps à mes parents. Même s'il avait ses raisons, Gregory nous avait abandonné et en un sens m'avait déçu. Mais je n'avais pas non plus la bonté de Swann et je me contentais de quelques visites à ma mère. Contraint et forcé par les valeurs qu'étaient le miennes. Après ça Greg et Swann coupèrent les ponts.

On aurait pu reprendre le cours de nos vies mais le destin n'avait pas fini de nous jouer des tours. Un an et demi plus tard, mon père succomba à une crise cardiaque. Faire mon deuil ne fut pas facile. Mais ce n'était pas la perte de l'homme qu'était mon père qui me rendait triste. C'est la perte de celui qu'il ne serait jamais. Le petit garçon au fond de moi espérait toujours qu'il finisse par changer. Se battre, se comporter en homme. Ne plus se cacher derrière son boulot et s'occuper de nous. Non. Mes parents resteront de piètres parents, Ad vitam aeternam. Les mois qui suivirent le décès, ma soeur et moi faisions face chacun à notre manière, chacun de notre côté. S'éloignant peu à peu l'un de l'autre. La maison fut vendue et des amis me proposèrent de les rejoindre dans leur colocation au centre ville.

Maintenant je sais ce que Gregory a du ressentir en partant. Un soulagement. Un poids qui s'envole même si le lourd passé familial nous poursuivra sans cesse. Dans qui nous sommes, nos relations, nos décisions. Ma soeur continue à m'aider pour payer mes études et j'enchaine les petits boulots sans intérêt pour subvenir au reste. Je me vide la tête grâce à la course à pieds où je suis plutôt doué avouons le. Et j'essaie d'avoir une vie normale, celle d'un jeune de vingt ans. Avec l'âge j'ai pris conscience de beaucoup de chose. Je me suis construit avec un manque d'affection flagrant. Je l'ai en grande parti reporté sur mon frère et ma soeur mais un enfant à besoin de parents. Je n'en ai pas eu. Cela fait de moi une personne qui a du mal à se livrer aux autres. Quelqu'un de solitaire. Mais aussi une personne qui se donne les moyens. Je suis calme et posé, je ferais sans cesse en sorte de ne pas être comme eux. Je sais d'où je viens et je sais où je veux aller.

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Voilà ce que sont les vingts premières années de ma vie. Tumultueuses, chaotiques, parfois heureuses et souvent banales. Je n'oublie pas de pimenter toutes celles à venir... En expliquant par exemple à ma soeur que notre frère ainé avait revu notre père dans son dos quelques temps avant son décès. Greg m'avait fait juré de ne pas en parler. C'est vrai ça a fait l'effet d'une bombe. Mais qui sait peut-être que ces deux là finiront par trouver un terrain d'entente? Je serais là pour arbitrer tout ça. Après tout il ne faudrait pas que je m'ennuie dans une petite vie trop polie.

Déjà, encore une fois, merci d'avoir pris mon scénario! J'aime beaucoup ce que tu as fait d'Adam et surtout, j'ai apprécié ta façon d'écrire et de présenter l'histoire. Bienvenue parmi nous et amuse-toi bien!

Tu peux dès à présent découvrir les merveilles que renferme le forum ainsi que sympathiser et délirer avec les autres membres si ce n'est pas déjà fait ! Cependant afin de ne pas te lâcher complètement dans la nature, voici quelques liens qui te permettront de t'y retrouver ! Tout d'abord si tu ne l'as pas encore fait, je te conseille d'aller jeter un petit coup d'oeil au règlement, c'est toujours bien de savoir à quoi on a à faire ! Ensuite nous pensons que tu ne vas pas vivre sous les ponts, donc files faire une demande de logement et après va recenser ton métier. C'est toujours bien de savoir où notre personnage va travailler ! N'oublie pas aussi de recenser ton statut et surtout de nous avertir si tu attends un heureux événement... Puis, il faut aussi que tu répertories ton personnage c'est important !

Mais bon je suis sûre que tu es surtout impatient(e) de créer ta fiche de liens pour te faire des amis ! D'ailleurs il se peut que tu ais besoin de personnes particulière, comme ta moitié ou ta grande tante qui fume comme un pompier ? Il faut les créer dans la catégorie en construction. N'oublies pas de recenser ton scénario, car si tu ne le fais pas, les personnes non inscrits ne pourront pas le voir. Si tu n'as pas forcément besoin de créer un scénario, mais il faut absolument que ton patron pervers ou que la belle-soeur de ton meilleur ami débarque, c'est un lien prédéfini qu'il faut que tu crées. Si au contraires, tu veux créés ta famille, je t'invite à remplir ce formulaire. Dans tous les cas, j'espère qu'ils seront pris bientôt ! Après si l'envie de RP est présente, mais que tu ne sais pas avec qui en faire tu peux aller rechercher un partenaire ! Ensuite, quand tu auras des rps par milliers, pour ne pas les oublier, tu pourras les mettre dans ton profil. Sinon tu peux les poster dans les Topics. Que te dire d'autre ? Je te recommande vivement le flood où l'on s'amuse comme des petits fous & de passer sur la ChatBox pour rigoler un petit peu ! Sinon pour toutes tes demandes, de lieux, de rang, changement de personnage ou autre, c'est dans les extras qui faut se rendre. Surtout, n'ais pas peur de faire le petit curieux et va voir un peu partout dans le forum.
Puis vu que nous sommes gentils, nous te mettons 500$ sur ton compte en banque !